Nos étudiants de 1ère année ont assisté à leur semaine Workshop sur le thème de la Mode et le Design du Luxe et ont eu la chance de collaborer avec la créatrice toulousaine, Delphine Josse, sur la problématique :

"Comment mettre en valeur l'univers et les produits de six jeunes créateurs dans un espace commun au cœur de la Maison de la Mode de Toulouse ?"

Pour répondre à ce brief, une présentation du Marketing et de la mode axée sur le Luxe leur a été faite, ainsi que la découverte des médias concernés, et de l'avenir de ce secteur. En bonus, nos étudiants ont pu visiter le village des marques de Nailloux avec leur intervenante, Nathalie Pruvost, qui en est la Directrice marketing.

Dans la semaine du 18 au 23 Décembre, ils ont eu le privilège de visiter l'hôtel 5 étoiles de la Cour des Consuls en compagnie du Directeur, Frédéric Fabre. Ce lieu a ainsi su représenter l'exemple parfait de l'application des codes du luxe.

Véronique Michel, attachée de presse pour le porc noir de Bigorre ou encore le restaurant gastronomique En Marge, a partagé avec eux sa connaissance du monde du luxe et du haut de gamme gastronomique et comment travailler avec les médias. Samir El Malki, directeur de Trentotto a aidé nos étudiants à se projeter dans l'amménagement d'un espace de vente, une intervention suivie de la visite d'un Showroom organisée par Stephanie Davis, Assistante de direction de la marque. En ce qui concerne les techniques de communication, c'est Brigitte Hincelin qui leur a parlé de photos de mode et de réalisation de book produits. Soit, un apport considérable de connaissances pour permettre à nos jeunes étudiants de réaliser ce projet sur des bases solides. Rappelons que ces derniers, en plus de ces vagues d'informations ont pu avoir une après-midi par semaine, durant plus d'un mois, dédiée à l'apprentissage des codes du luxe et de différents compléments en lien avec le marketing et les médias. Cette contribution de valeur aura su laisser toutes les clés en main aux étudiants pour donner à Delphine Josse une réponse des plus pertinentes.

Merci à nos étudiants pour leur implication et un grand merci à tous nos intervenants pour leur disponibilité et leur présence dans ce workshop!

Nous sommes fiers de vous présenter Montaine Dauxerre passionnée d'équitation, qui a déjà créé sa propre chaine YouTube sur le monde du cheval ! Des vidéos qui comptabilisent plus de 40 000 vues parfois, un vrai succès pour cette jeune étudiante en 2e anée seulement !

Qu'est-ce qui vous passionne ?

Je suis passionnée par le monde du cheval depuis l'âge de 4 ans environ. J'ai commencé par être simplement fascinée par le cheval en lui-même avant de vraiment m'intéresser au sport. C'est vers l'âge de 5 ans que j'ai commencé l'équitation en club avec une passion plus particulière pour la discipline du dressage, que je considère un peu comme une danse avec le cheval, un coté plus artistique.

Qu'est-ce que votre passion vous apporte dans la vie, en quoi vous aide-t-elle ?

Je pense que ma passion est un peu ce qui m'a forgée. Je trouve que de façon générale le cheval a vraiment un apport bénéfique pour l'humain. Il nous enseigne la patience, la maîtrise de soi, et surtout la remise en question. L'équitation m'a permis de devenir quelqu'un de motivé en toute circonstance, qui ne perd pas de vue ses objectifs même s'ils demandent beaucoup de temps et d'investissement. C'est aussi en voulant partager ma passion que je me suis ouverte au monde, car j'étais très timide avant de commencer ma chaine YouTube.

C'est difficile de concilier études et passion ?

Je ne dirais pas que concilier études et passion est compliqué mais cela nécessite un minimum d'organisation. Pour ma part je vois mon cheval et m'entraine le week-end, donc 3 jours par semaine.

Quelles qualités faut-il avoir en équitation ?

Je dirais que la plus grande qualité que l'on doit posséder, ou du moins développer, c'est la maitrise de soi, le « self control ». Il y a un dicton qui dit que « l'on ne peut pas prétendre maitriser un cheval si l'on ne sait pas se maitriser soi-même. » C'est totalement vrai selon moi car le cheval est une vraie éponge, il ressent la moindre de vos émotions négatives et là...cela peut mal tourner.

Quelle est la meilleure opportunité que vous avez eue grâce à votre passion ?

C'était une opportunité vraiment inespérée mais grâce à ma chaine Youtube en rapport avec le monde du cheval j'ai pu rencontrer d'autres passionnés en étant invitée à différents évènements en France. J'ai eu l'occasion d'assister à de grosses compétitions internationales en tant qu'invitée presse : les places en gradins étaient royales et l'espace VIP super !

De quoi êtes-vous la plus fière ?

Ce qui me rend fière c'est l'évolution que j'ai eue et que j'ai encore avec mon cheval, prénommé Okay. C'était un cheval en qui personne ne croyait, qui semblait juste être totalement blasé. Sportivement on ne lui donnait pas vraiment d'attributs. Mais je suis fière d'avoir cru en lui ! Il est désormais métamorphosé et cela sans avoir eu l'aide de personnes extérieures. J'ai appris beaucoup de choses sur les chevaux par moi-même et pouvoir faire évoluer un cheval sans l'aide de personne est quelque chose qui m'a beaucoup apporté !

Qu'aimeriez-vous dire à ceux qui ne pratiquent pas ou ne connaissent pas votre passion ?

On dit souvent que l'équitation n'est pas un sport : si vous le pensez aussi...testez une vraie bonne séance, pas une balade et vous me direz l'état de vos jambes et de vos fessiers après cette expérience ! ;)

Retrouvez Un Poney Jaune sur et

Ce mercredi 7 février, le club 2AI - anciens étudiants - a organisé un atelier créatif autour d'une problématique : quelles sont les attentes des membres du réseau des Anciens de l'ISEG ?

9 anciens étudiants ont été sollicités pour cette soirée. Les promos 2017, 2016, 2015, 2013, 2012 et 2010 étaient représentées.
Ils ont eu l'opportunité de « brainwriter » autour de différentes questions comme les valeurs de la communauté, les actions qu'ils aimeraient voir mises en place et les moyens pour y parvenir.

Le but étant de pouvoir co-définir des axes de développement et d'actions concrètes à mener. L'événement a eu lieu à MAPIECE Jacobin, en présence de la fondatrice du lieu Céline Paravy-Atlan (élue à la CCI de Lyon). Céline a eu l'occasion d'échanger avec nos anciens étudiants au sujet des réseaux et l'importance de ces derniers mais aussi comment bien les solliciter. Elle a su apporter un regard extérieur et bienveillant aux représentants de la communauté des Anciens.

La séance de créativité s'est poursuivie par un cocktail, proposé par MAPIECE, l'occasion pour nos anciens étudiants de continuer à échanger sur ce thème.

Nous tenions à remercier particulièrement Céline Paravy-Atlan pour la mise à disposition de ce magnifique lieu et pour sa présence mais également nos anciens étudiants qui se sont mobilisés pour nous aider à contribuer à la vie du réseau des Anciens. Merci donc à Pierre Carrez (promo 2010), François Delporte (promo 2012), Jonathan Magat (promo 2013), Justine Tribollet (promo 2015), Ghislain Bouvard (promo 2016), Pauline Dauffer (promo 2016), Victoria Salamone (promo 2016), Pauline Pillon (promo 2017). Et à bientôt !

propos rédigés par Laura Buchet-Bully, Stagiaire événementiel et relation avec les anciens ISEG Marketing & Communication School, Lyon

Ce mardi 5 décembre, c'est au tour de Frédéric Cherouvrier, aujourd'hui responsable de la communication digitale chez Orange, de venir nous présenter son parcours, ses anecdotes et ses conseils. Une intervention très interactive avec les iségiens de 3ième année.

De la pratique, encore de la pratique, toujours de la pratique...

Frédéric Cherouvrier s'est formé « sur le tas ». N'ayant pas de diplôme, il part sur les routes en 1978. Et ces routes le conduisent à exercer plusieurs corps de métiers. Entre les postes de comptabilité et ceux de magasinier, il ne s'arrête pas. A cette époque, le minitel était en pleine expansion et il pouvait observer les prémisses d'Internet. Il se lance alors dans cet univers et se fait embaucher par Comed. Là où commence son apprentissage digital.

De la messagerie rose à la télécommunication...

Qu'est-ce que Comed ? Comed est une entreprise de messagerie rose dans laquelle il développe des serveurs et où il peut créer des hébergements à partir du minitel. Il commence tout doucement à toucher à l'informatique. Frédéric s'est lancé dans Comed dans le but de comprendre l'utilisation du minitel et de pouvoir le proposer à des entreprises. Pour lui, avancer en même temps que le développement d'internet a été une réelle opportunité. Il créait petit à petit une valeur ajoutée que les entreprises n'allaient pas tarder à rechercher.

Au bout d'un an et demi, il décide de quitter Comed. Cependant, il avait réussi à se constituer un carnet d'adresse intéressant. Ayant travaillé avec plusieurs agences afin de leur apporter ses compétences, il était arrivé à avoir une bon catalogue de sociétés et donc de bonnes références.

En 1993, son histoire avec la télécommunication commence... Il entre chez France Télécom toujours pour travailler sur le minitel. Deux ans plus tard, il travaille sur Internet : une nouvelle force de vente. Avec cette entreprise, il a eu l'opportunité de travailler sur la création d'un site pour l'Eglise Catholique par exemple en 1996. Il a également eu la chance de travailler, lors de la Coupe du Monde de 1998, avec des joueurs brésiliens afin de les former à Internet : Une de ces plus belles anecdotes.

L'appel de la ville rose...

En septembre 1999 une nouvelle vie s'offre à Frédéric. N'ayant eu que des opportunités parisienne, c'est cette année-là qu'il arrive à Toulouse pour une réunion avec La Dépêche. L'entreprise recherchait à ce moment-là, à recruter une personne avec un profil similaire à Frédéric. Après réflexions, il se lance et aménage il y a 18 ans au cœur de la ville rose. Au sein de La Dépêche, Frédéric Cherouvrier s'occupait de gérer les partenariats et de former les salariés à Internet. Et en 2001 il réalise une action de communication qui restera dans les annales. Partenaires du Rio Loco cette année-là, ils sont les premiers à diffuser le festival en direct live sur Internet. Frédéric prend alors la décision de s'intéresser aux différentes innovations.

Frédéric Cherouvrier et Orange...

En tant que chef de projet innovations, Frédéric commence sa longue histoire avec Orange. Et petit à petit, et voyant l'importance que commençaient à prendre les réseaux sociaux, il se rend à la direction régionale et se bat pendant 6 mois pour avoir la main dessus et pouvoir y communiquer. Aujourd'hui l'entreprise est présente sur Twitter et a une page boutique sur Facebook. Frédéric confie qu'Orange à le souhait de s'orienter vers d'autres réseaux sociaux. Il devient alors responsable de la communication digitale il y a 1 an et demi.

Frédéric Cherouvrier nous explique que la société est structurée en région et qu'Orange Occitanie souhaite gagner en visibilité. Il met un point d'honneur à nous donner quelques conseils... Selon lui, la prise en main et la débrouille sont les clés de la réussite. Il ne faut pas attendre qu'on nous apporte tout et qu'il faut impérativement commencer à faire nos propres relations publiques. Il souligne aujourd'hui l'importance d'avoir une empreinte digitale.

Frédéric Cherouvrier via son parcours atypique, a su donner envie aux étudiants de se battre et de développer leurs personnalités professionnelles. De quoi créer pleins de projets...

Cet article vous est proposé par Sophie, MCS3

Un séjour linguistique est un excellent moyen pour s'immerger dans un pays et en profiter pour réellement progresser.

Chaque année, les étudiants de l'ISEG Strasbourg ont la possibilité de poursuivre leurs études dans une des universités partenaires de l'école durant six mois. Ce semestre international offre l'opportunité de compléter leur formation tout en s'adaptant à un nouvel environnement culturel.

Depuis le 15 janvier et jusqu'à septembre 2018, Amélia Weil-Féry, Joris Tasquin et Jessica Schneider expérimentent ce voyage académique en évoluant dans la « Dublin Business School » au sein du programme MCS : Master Of Sciences ! L'occasion pour ces étudiants de valider en parallèle de leurs bac+5 ISEG MCS, un MBA international !

Au programme de la première journée ; cours de Strategic Marketing Management, Research Methods et Personal and Professional Développement dans la bonne humeur et sous un beau soleil ! (même si les températures avoisinent les -3°, on leur souhaite bonne chance).

Un semestre qui s'annonce riche en émotions et en découvertes ! Mais on ne se fait aucuns soucis pour eux... d'ailleurs tout semble déjà avoir bien commencé ;).

Les prochains étudiants à partir sont les étudiants de 3ème année, ils ont rendez-vous fin mars 2018 prochain à Irvine et Budapest !

« Eh bien voilà ! C'est le début d'une grande aventure qui commence ! »

Claire Girardot, étudiante en Psychologie à l'Université UFR SLHS de Besançon et Priscillia Bicer, étudiante en 3^e année à l'ISEG Marketing & Communication School Lyon sont parties de Clermont Ferrand ce mardi 13 février matin pour rejoindre Biarritz au volant de Florette et entamer une longue aventure, le 4L Trophy : un raid automobile solidaire de 6 000 km, rassemblant près de 2000 étudiants transportant des fournitures scolaires et sportives pour les enfants sud-marocains.

« Florette c'est notre petite 4L que vous pouvez voir ci-dessous. Ce challenge nous a demandé un an de préparation ! » Il leur a fallu en effet trouver suffisamment de partenaires pour avoir un bon dossier sponsoring, organiser des événements, collecter des fonds, préparer leur véhicule, le modifier... tout cela en parallèle de leurs cours !

« Fournir autant d'efforts mérite un sacré réconfort ! Notre investissement est faible par rapport à l'aventure que nous allons vivre et qui a commencé hier ! Nous serons de retour en mars et ne manquerons pas de vous faire partager notre aventure ! »

En attendant, Priscillia et Claire vont sillonner les routes du sud de la France et de l'Espagne, avant de traverser le désert du Maroc et de réaliser les nombreuses étapes, en parcourant le moins de kilomètres possible. « Notre objectif principal est de retrouver ces enfants, là-bas, de l'autre côté, qui méritent amplement qu'on leur vienne en aide. On vous dit à bientôt avec plein de nouvelles de notre aventure ! ».

Une belle initiative pour ces deux étudiantes qui ont troqué leurs vacances d'hiver contre une aventure solidaire et humaine, en toute humilité. Nous sommes de tout cœur avec elles et leur souhaitons un magnifique raid, nul doute qu'elles en reviendront très émues !

Pricillia Bicer et Caroline Barrier

Dans le cadre de son cycle de conférences intitulé « ISEG ONE, les rendez-vous qui comptent ». L'ISEG Marketing & Communication School Paris aura l'immense plaisir de recevoir madama Alexia Laroche-Joubert, Productrice. Deux heures de rencontre pour comprendre pourquoi la télé réalité recontre un tel succès et échanger autour de ce sujet.

Le succès continu de la télé réalité. Pourquoi ?

Alexia Laroche-Joubert
Productrice

Le mercredi 14 février 2018
de 13h30 à 15h00

Découvrez le parcours d'Alexia Laroche-Joubert

Après avoir obtenu un DESS en droit, Alexia Laroche-Joubert travaille 6 ans dans les chaînes thématiques du groupe Canal+, puis à partir de 1995 aux côtés de Michel Denisot et Marc-Olivier Fogiel pour Télés Dimanche puis TV+, au poste de responsable des informations. Elle rejoint ensuite TF1 en 1997 en tant que rédactrice en chef à la rédaction des magazines.

En 1998, elle inyègre le groupe Endemol en tant que rédactrice en chef du magazine Exclusif sur TF1 adapté de l'émission d'information people américaine Entertainment Tonight.

En janvier 2000, elle prend en charge les filiales de production d'Endemol ASP et Niouprod et lance le raz-de-marée Loft Story et Star Academy dont elle incarnera également le rôle de directrice de l'académie pendant 5 ans.

En 2001, elle est promue directrice des programmes d'Endemol France et prend la présidence du sous-groupe ASP et intégrez le comité de direction du groupe Endemol France.

Entre janvier et juin 2007, elle intègre la radio Europe 1 et anime un magazine de société et de confessions intitulé Racontons-nous.

En parallèle, en 2007, elle publie un livre autobiographique "Pas de pitié pour les dindes !"

En 2008, elle quitte Endemol France pour rejoindre Stéphane Courbit au sein du groupe Banijay avec lequel elle lance sa propre société de production, ALJ Production.

Emissions produites depuis 2008 :

• Dilemme, pour W9.
• Bienvenue dans ma tribu, pour TF1
• Les Ch'tis et Les Marseillais, sur W9
• Une saison au zoo, série documentaire diffusée sur France 4
• Le Maillon Faible, sur D8, avec l'animateur Julien Courbet.

En 2016, elle est nommée présidente d'Adventure Line Productions et en mai 2016, Denis Brogniart annonce en direct de la finale de Koh Lanta qu'elle devient la patronne de l'émission

Elle fait revivre en prenant la tête de cette société des marques historiques comme les Minikeums ou la Carte aux trésors et met pour la première fois une nouvelle création de jeux d'aventure sur TF1 avec l'Aventure Robinson (Maitre Gims et Kendji Girac).

Ne manquez pas ce tout nouveau rendez-vous !

Lieux : Campus Numérique et Créatif Paris Centre - 95, avenue Parmentier - Paris 11e
Horaires : de 13h30 à 15h00

Conférence en live sur : https://www.youtube.com/channel/UCZ4l93i2ORlaeIASUrinj6A

Après un DUT Communication, Loré nous a rejoint en 3è année au mois de septembre. Cavalière émérite d'endurance, elle allie études et passion : l'endurance équestre.

Hello Loré, tu es étudiante en 3è année à l'ISEG et championne d'équitation. Peux tu revenir pour nous sur ta carrière, comment est née ta passion ?

Alors, tout d'abord je ne suis pas championne. J'essaie de le devenir !

J'ai commencé l'équitation à l'âge de 3 ans dans un centre équestre classique puis vers 13 ans, je suis arrivée dans une écurie d'endurance de petit niveau où j'ai appris les bases de l'endurance équestre. Depuis 2016 je monte dans une écurie de professionnels avec une vraie équipe et un panel de chevaux avec de grandes qualités.

L'endurance est une discipline qui ressemble au marathon c'est-à-dire parcourir une longue distance en un temps minimum avec le même cheval et dans la même journée au trot et au galop. Les distances vont de 20km à 160km, elles sont jalonnées de contrôles vétérinaires tous les 30km environ afin de garantir une santé irréprochable aux chevaux.

Depuis 2 ans et demi j'évolue dans cette écurie sous les couleurs d'une écurie du Qatar (UQF Endurance Qatar) qui appartient à un membre de la famille royale ainsi que pour les couleurs de mon écurie en France (Le Haras du Moulin), mais il m'arrive également de monter des chevaux au pied levé pour d'autres écuries. Cette double casaque me permet de courir des grosses courses de niveaux national et international c'est-à-dire de 40km à 120km junior et sénior en France et à l'étranger (Qatar, UAE, Espagne..). Il faut savoir qu'autour du couple en compétition il est nécessaire d'avoir une équipe d'assistance de 3 personnes environ qui sont présentes pour rafraîchir le cheval et faire en sorte qu'il passe au contrôle vétérinaire le plus rapidement possible (l'accès au contrôle vétérinaire n'est possible que lorsque la fréquence cardiaque du cheval est égale ou en dessous de 64 pulsations par minute). Il m'arrive donc fréquemment d'aller en compétition même si je ne monte pas à cheval pour faire l'assistance à mes coéquipières et m'occuper des chevaux.

Mes plus beaux résultats de ma jeune carrière (sans compter toutes les courses de qualifications des jeunes chevaux) :

⁃ Ladies Race 100km à Dubai en 2015

⁃ Championne de France junior par Région (Aquitaine) en 2016

⁃ 21éme au Championnat de France2016 sur 120km Junior

⁃ 3éme sur la CEI* (90km) à Ligniére en 2017

⁃ 11éme sur la CEI** (120km senior) de Florac en 2017

⁃ 14éme sur la CEIJYR ** (120km Junior) de Fontainebleau en 2017

⁃ 38éme sur la CEI** (120km senior) de Monpazier en 2017

J'ai la chance de monter dans une écurie où il y a des employés pour entrainer les chevaux lorsque les cavalières de course ne peuvent pas entrainer, je rentre cependant tous les week ends chez moi à Pau pour aller entrainer les chevaux. Étant sur Toulouse la semaine je reste en contact avec l'écurie pour être au courant de tout ce qui concerne les chevaux en préparation pour les courses car ces derniers sont de vrais athlètes, ils ont droit au tapis roulant, séance de galop à l'hippodrome, ostéopathe, nutrition adaptée..

Qu'est ce que l'équitation t'apporte dans ton quotidien et durant tes études ?

L'endurance est clairement le centre de ma vie, je passe beaucoup de mes week ends en courses ou à monter à cheval ! Le fait d'être en week end le jeudi midi est pour moi très important puisque cela me permet de rentrer entrainer mes chevaux. Cette discipline me permet également de beaucoup voyager en France et à l'étranger, mais aussi d'avoir une équipe géniale avec qui partager les victoires comme les défaites, nous sommes très proches on fait également d'autres activités à côté de l'équitation et cela est un vrai soutien pour moi.

Des projets, déplacements, compétitions à venir ?

En ce qui concerne mes projets : je souhaite travailler plus tard au Moyen Orient en tant que chargée des relations publiques dans une grosse écurie. Pour les compétitions cela va dépendre du retour ou non d'une partie de nos chevaux qui sont partis passer l'hiver au Qatar, mais j'ai déjà prévu de courir à Fontainebleau début mars sur 120km ou 90km (cela dépendra de la forme des chevaux en début de saison), puis ensuite les qualifications de nos jeunes chevaux qui débutent leur carrière sur 40km et ensuite des courses internationales tout au long de l'année. Côté déplacements j'aimerais bien aller Dubaï ou Doha en fin d'année pour aller courir quelques courses dans le désert !

Mercredi 14 février 2018 a eu lieu le second Career Meeting organisée en collaboration avec 6 écoles du groupe IONIS : ISEG Marketing & Communication School, ISG Programme Business & Management, ESME, Epitech, E-artsup & ISEFAC. Cet événement incontournable permet chaque année à nos étudiants de décrocher un stage de fin d'étude en allant à la rencontre des entreprises de leurs choix afin d'échanger ensemble et découvrir les réelles opportunités professionnelles qui s'offrent à eux.

Au total, pas moins de 40 entreprises de la région étaient présentes sur le campus de Lille pour rencontrer nos étudiants dont Foncia, Printemps, Décathlon, Auchan Retail, La Redoute, Publicis ETO, La Plaine Images, Ecoburotic, Adeo, M6 web...

Le forum a débuté par une conférence « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'emploi des cadres » avec le regard d'expert de Florence LECUILLER-MINEO, Consultante région Hauts-de-France et l'intervention de Colette LESENS, Directrice de l'ISG Programme Business & Management, campus de Lille..

Après cette conférence, plusieurs ateliers se sont enchaînés abordant des thématiques différentes :

- Atelier 1 autour de « L'Envie » animé par Virginie François, Gérante du Groupe VIP 360°

- Atelier 2 avec la thématique « Soyez chic, embauchez moi ! » animé par Bastien Bonnet Coach Google pour les pros

- Atelier de présentation de la plateforme « MCV Student, votre CV vidéo » animé par Jérôme Michalak, Co-fondateur & CEO de MCV Student

Par ailleurs, plusieurs corners de renseignements pour les étudiants ont été mis en place :

- IONIS 361 représenté par Julien Duchemin - Chargé de mission IONIS 361 Lille

- EF Education représenté par Emma Bertholon Responsable Formation - EF Cours de Langues à l'Etranger Adultes, professionnels et cadres

- MCV Student représenté par Jérôme MICHALAK, Co-fondateur & CEO de MCV Student

Toute la matinée, les étudiants n'ont cessé d'affluer dans les couloirs de l'école afin d'approcher les entreprises et répondre à différentes offres de stages. A la fin du forum, de nombreux étudiants sont repartis heureux et soulagés d'avoir décroché leur stage de fin d'étude.

Un grand merci aux entreprises présentes ainsi qu'aux étudiants pour leur contribution à la réussite de cet événement.

De la visite de la Silicon Valley à celle d'entreprises en passant par des Workshop, le learning Trip est l'occasion idéale de concilier, sur une semaine, international et immersion dans une région ouverte à l'innovation. Elodie, étudiante de l'ISEG, nous fait le récit de cette aventure au pôle mondial des entreprises et des industries de pointe.

Hello Elodie, pourquoi être partie faire le learning trip ?
Je suis partie à San Francisco pour m'ouvrir l'esprit à autre chose et surtout apprendre encore plus sur le Marketing et la Communication. Lisa (qui était partie l'année dernière) m'avait parlé du programme qu'elle avait fait et j'avais été séduite (très rapidement d'ailleurs). Puis n'étant jamais partie aux USA, mon côté globe trotteuse m'a dit de foncer !

Qu'en attendais-tu ?
Je m'attendais à apprendre un peu au niveau du Marketing, visiter San Francisco... Au final, mes attentes étaient largement en deçà de ce que le voyage était vraiment. Je ne m'imaginais pas créer des liens et apprendre autant.

Quel a été votre programme ?
Le programme a été chargé, on a découvert plein de choses et surtout rencontré des personnes qui nous ont tellement partagé ! Entre autres, nous avons rencontré beaucoup de codirigeants de start-up comme On ward et 1000 mercis. Nous avons aussi rencontré le CEO de Orange Fab, sûrement la rencontre qui m'a la plus marquée. Un homme d'une bonté extrême, qui nous a appris mille et une chose sur les technologies, l'univers des start-ups, le trio facebook-amazon-Google... Une vraie perle !
Nous avons eu aussi la chance de visiter Google, Apple et Facebook. La visite de Facebook était très intéressante, nous avons visité les locaux avec une employée qui nous parlait de son travail : elle cherche des artistes pour venir remplir les locaux... Le (l'énorme) bâtiment était entièrement décoré par des œuvres d'artistes. Nous avons aussi visité le musée d'Autodesk, qui nous a plongé dans l'innovation. Un petit aperçu du monde de demain.
Nous avons eu aussi deux cours, dont l'un à Stanford. Nous avons traité de l'AI et la Data. Des sujets plus que d'actualité dans le monde du marketing et de la communication.
Bien sûr, nous avons aussi profité du voyage pour visiter San Francisco, aller voir la côte, profiter de fabuleux points de vue et trinquer sur un rooftop !

Le temps fort qui t'a le plus marquée ?
D'un point de vue professionnel, la visite d'Orange Fab et le cours sur la data à Standford ont été les deux moments les plus forts du voyage. C'étaient des moments simples et fort enrichissants. Ces personnes m'ont aussi beaucoup marquée.
D'un point de vue personnel, la vue que l'on avait aux Twin peaks était époustouflante. Un autre moment fort a été le moment de notre arrivée dans la ville avec Lydie, ma colocataire de chambre. Nous avons voulu visiter le centre-ville à pied pour bouger après des heures d'avion. Nous sommes tombées dans l'un des quartiers les plus chauds de San Francisco (Tenderloin). Sur le moment, on ne faisait pas les fières, mais ça reste un super souvenir sur lequel on peut rire. Puis le steet art était superbe.

Qu'en retiens tu ?
J'en garde des superbes souvenirs, avec une team superbe (nous étions 6, très soudées) et une organisatrice (Leslie) au top ! C'était un superbe voyage instructif et surtout humain, où l'on a rencontré pleins de personnes.

Comment relies-tu ce voyage à tes études à l'ISEG et à ton avenir pro ?
Le voyage m'a beaucoup appris sur le Marketing et la communication. Ce sont des choses dont je vais me resservir dans mes études ou mes stages. L'un des points où ce voyage a eu le plus d'impact, c'est ma vision sur la Data. J'en avais marre qu'on nous rabâche tout le temps sur le sujet de la Data. J'ai compris maintenant à quoi ça servait, comment s'en servir et surtout comment en faire un atout. Alors que je voyais la Data comme nuisible, aujourd'hui, je suis persuadée qu'elle est un atout dans une entreprise qui sait bien l'utiliser (de façon éthique).

Pourquoi conseilles-tu de faire ce learning trip ?
Pour moi, c'est un voyage que je ne regrette pas. C'est allé bien au-delà de ce que j'espérais. Je n'imaginais pas qu'il serait aussi instructif et qu'il m'apprendrait autant d'un point de vu professionnel comme personnel.
Bien que je ne compte pas faire de stage aux USA, le voyage permet aussi de se faire plein de contacts, et d'ailleurs, quelques-uns nous ont proposé des stages là-bas.

Cette semaine, dans le cadre des Rencontres Métiers du campus IONIS de Strasbourg, nos MCS3 ont eu l'occasion de rencontrer Valentin Fahrner. Ancien diplômé de l'ISEG promotion 2015, aujourd'hui, chef de secteur chez Triumph International.

Diplômé de l'ISEG Marketing & Communication School Strasbourg, il a eu l'occasion de réaliser son stage de cinquième année chez Triumph en tant que Chef de marque. Grâce à une fine stratégie, il a très vite contribué à l'augmentation du CA sur le territoire français, en termes de volume de ventes. C'est tout naturellement, qu'à l'obtention de son master, il fût recruté. De par son goût du challenge et une fervente envie de progresser sur le terrain, il est aujourd'hui, chef de secteur au sein de l'entreprise.

Les objectifs principaux de son poste sont de dynamiser les ventes au niveau national. Ce métier lui apporte une expertise dans le domaine du relationnel et de nombreuses compétences de savoir être et savoir-faire. Il nous explique que le plus important dans son métier, c'est de savoir s'adapter à une situation, un contexte, une demande, un client mais surtout de savoir dialoguer.

Il a su parfaitement intéresser nos étudiants sur son métier et son entreprise notamment grâce aux multiples supports qu'il leur a apporté.

En réponse à un étudiant lui demandant si ce n'était pas paradoxal pour un homme de travailler dans la lingerie, Valentin Fahrner conseille aux futurs professionnels de rester ouverts d'esprit et ne pas avoir de limites quant aux choix de leurs carrières car les recruteurs ne se formalisent pas.

Enfin, le contact humain est, pour lui, une valeur clé pour la création de notre réseau (dont il rappelle l'importance) et dans les relations clients.

Bonjour Erwan, vous avez obtenu votre diplôme en 2017, pouvez-vous nous expliquer comment s'est passée votre arrivée dans la vie active, et votre emploi chez Cojecom en novembre 2017 ?

Tout s'est fait au final assez rapidement. Ayant fini au mois de mai, j'ai commencé chez Cojecom le 31 octobre exactement ! J'ai eu le temps de profiter de l'été, de passer quelques entretiens qui n'ont pas abouti et saisi cette opportunité dès qu'elle s'est présentée !

Quelles sont vos missions aujourd'hui chez Cojecom ?

Je suis Account Manager, que l'on pourrait qualifier plus simplement de Chef de projet digital. L'agence est spécialisée en marketing digital, nous faisons donc exclusivement de la publicité en ligne. J'assure toute la mise en place des campagnes : une équipe de commerciaux se chargent de vendre nos produits, qui une fois vendus se retrouvent dans nos mains. Nous assurons alors toute la préparation, la mise en ligne, le suivi et le reporting des campagnes. Une équipe de Traffic Managers s'occupe elle d'optimiser au maximum l'ensemble des campagnes en cours de diffusion.

On peut voir que Cojecom se décrit comme étant « la régie publicitaire de Google », mais qu'est-ce que cela signifie réellement ?

Cela signifie que nous avons aujourd'hui le plus haut niveau de partenariat Google Partners. Nous sommes en quelque sorte des experts certifiés sur toutes les solutions proposées par Google.

On sait que le digital est un secteur où il y a beaucoup d'offres d'emplois ce qui peut être attrayant pour les étudiants. Mais faut-il être passionné pour se lancer dans ce milieu ?

Le web est un domaine qui va très vite et qui demande en plus de nos compétences en communication et marketing, des compétences techniques assez importantes selon les domaines. Il ne faut pas avoir peur d'apprendre de nouvelles choses en permanence car c'est un domaine où on ne s'ennuie jamais ! En arrivant chez Cojecom, j'étais loin d'être un expert du marketing digital, et jamais je n'aurais pensé travailler dans ce domaine. C'est grâce à ma passion du web en général que j'ai pu m'accrocher dans le torrent d'informations à intégrer et arriver où j'en suis aujourd'hui.

Vous êtes aussi, en parallèle de votre emploi chez Cojecom, Directeur de la communication chez Particules depuis presque 2 ans maintenant. Pouvez-vous nous décrire brièvement ce qu'est Particules et votre rôle au sein de cet organisme ?

Particules est une association via laquelle nous organisons des événements de musique Techno un peu partout à Lyon. Je suis un passionné de musiques électroniques, et ce projet bénévole me permet de m'épanouir pleinement dans ces deux domaines qui me tiennent tant à cœur ! Je gère l'ensemble de la communication de l'association sur les réseaux sociaux, plus des tâches diverses et variées selon les besoins ! Nous sommes peu nombreux donc tout le monde doit mettre la main à la pâte !

Allier 2 emplois à la fois n'est pas trop contraignant ? N'avez-vous pas peur du « trop » ?

Pour être honnête, je cumule maintenant un 3e emploi car je suis devenu récemment Chargé de Communication pour l'Evasion Festival qui se tiendra à Lyon en juillet ! C'est beaucoup de travail, et c'est parfois un peu contraignant, mais j'adore ce que je fais et je m'éclate donc je n'ai pas envie de m'arrêter là !

Quelles sont vos ambitions sur le long terme ?

Simplement pouvoir continuer à prendre du plaisir dans ce que je fais, et peut-être pouvoir vivre un jour de ma passion pour la musique !

Nous remercions chaleureusement Erwan Rey d'avoir pris le temps de répondre à nos questions, et nous lui souhaitons bonne continuation !

Interview réalisée par Laura Buchet-Bully, étudiante en 3e année et stagiaire évènementiel et relations avec les anciens ISEG

En ligne de mire, Marrakech, destination finale d'un périple de 10 jours et près de 6000 kilomètres avalés sur les routes de France, d'Espagne et sur les pistes du Maroc. Autant d'éléments qui font du Raid 4L Trophy™ le plus grand raid étudiant d'Europe.

Mais plus que de simples chiffres alignés, le Raid 4L Trophy™ est une formidable aventure humaine, sportive et solidaire pour les étudiants âgés de 18 à 28 ans.

Pour cette aventure, l'ISEG Toulouse suit de près la participation de Chloé et Sonia, deux étudiantes de 2è année ayant décidé de se lancer dans cette expérience peu commune.

Hello les filles, comment avance votre projet de participation au 4L Trophy ?

Notre projet avance bien même très bien, on est en train de finaliser les derniers détails. On va bientôt coller les autocollants, qui finiront d'habiller la 4L. On s'entraîne tous les weekends à conduire notre voiture pour pouvoir bien la connaître avant de partir.

A quelles difficultés faites-vous face dans votre préparation et comment trouvez-vous des solutions ?

Les difficultés rencontrées ont été surtout la recherche de sponsors, qui a été dure et longue, mais avec persévérance on a su trouver des solutions en faisant jouer nos contacts, ainsi que la mécanique de la voiture car nous partions toutes les deux avec zéro bases. Mais nous avons réussi à apprendre au fur et à mesures des jours comment fonctionner notre 4L.

Qu'est-ce que ce projet vous apporte d'ores et déjà ?

Notre projet nous a permis personnellement de ne pas baisser les bras face à de nombreux refus lors de nos recherches de sponsors, à s'écouter l'une et l'autre sur nos différentes envies et façons d'appréhender le 4L Trophy. Et au niveau professionnel cela nous a permis de développer notre côté commercial, d'apprendre à savoir faire des dossiers de sponsoring et d'améliorer nos compétences en communication (création, site, réseaux sociaux.. ).

Nous sommes fiers de faire partie de vos partenaires et de vous soutenir dans cette aventure à la fois humaine et humantaire :) !!!

Retrouvez-les et soutenez-les sur leur Instagram !!!

Un des évènements les plus important de leur cycle, les premières années ont vécu fin janvier les digital days. Pour les nouveaux arrivants, cette semaine est dédiée à l'univers du digital, de la découverte d'un média jusqu'à son exploitation la plus poussée. Afin d'illustrer cette thématique nos premières années ont eu l'occasion de rencontrer différents intervenants de différents domaines afin d'aborder leur perception des médias d'aujourd'hui, leurs réelles utilités et enfin leurs effets. De quoi sortir d'une telle semaine avec un apport d'informations considérables et surtout nécessaire à la compréhension de ce monde en pleine évolution.

Au programme de ce premier jour, un focus sur Instagram !

Animateur de la communauté instagram de Toulouse, Fabrice Feval est également consultant en communication de l'agence bililik. Il a fait appel à ses deux casquettes pour intervenir sur l'application Instagram. En partant de son fonctionnement jusqu'aux modes d'aujourd'hui, il a alors exploité les intérêts de son utilisation et tous le travail réalisable à partir d'un téléphone. Après une première partie dédiée à la théorie, la pratique a alors pris place dans les rues de Toulouse avec deux finalités à atteindre. La première, la prise et retouche d'une photo mettant en place une symétrie. La deuxième se base sur l'utilisation d'un parapluie a intégrer sur une photo. Retrouvez son travail ainsi que celui de son équipe ici.

Nos étudiants démarrent ensuite leur après midi par une table ronde qui les aura pas laissés indifférents. En effet sont présents à celle-ci Lucie Paimblanc, journaliste, correspondante AFP et fondatrice/rédactrice du blog « jedeviensécolo » et Thomas Fantini qui n'est autre qu'un ancien étudiant de l'ISEG Toulouse, aujourd'hui chef d'entreprise dans la restauration puisqu'il a fondé la marque La compagnie des Pergos et est associé au traiteur Skandi. Animée par Ludovic Amar chargé de communication au sein de l'agence Anouk Déqué, la conférence a débuté, son objectif étant de comprendre l'interêt des réseaux à propos de la restauration. Ces questions ont alors débouché sur les relations entre bloggers, influenceurs et les restaurants mais aussi sur les moyens mis en place et les opportunités qu'ils offrent. Cette table ronde aura su aussi révéler les vices de ces réseaux qui, parfois « truqués », peuvent faire perdre la valeur d'une notation. Les étudiants ressortent alors de cette première table ronde avec un aperçu des limites des réseaux et de comment connaitre la validité d'un commentaire à propos d'un fait, quel qu'il soit.

Dernière table ronde de la journée, Instagram vs Snapchat ! Nous connaissons les deux réseaux que sont Snapchat et Instagram. Le but de cette deuxième table ronde a alors été de discuter des avantages, inconvénients, utilités et interêts de ces deux applications en les confrontant. Pour en débattre avec Rémy Sirieix, chargé de communication au sein de l'agence Anouk Dequé, Jean Renaud Xech, responsable de communication websocial de la Mairie de Toulouse, Fabrice Féval, consultant en communication digitale et enfin Géraldine Ferrand, instagrameuse et influenceuse. Leur point commun ? Ils utilisent un des deux réseaux cités précédemment. Alors que les deux applications utilisent le support photo comme source d'interactions, nos intervenants eux sont bien décidés quant à l'utilisation de l'un ou de l'autre pour une utilisation spécifique. Mais on ne s'arrête pas qu'aux spécificités de l'application, Géraldine qui n'en fait pas son métier nous a alors révélé les opportunités que cette application lui a offert par sa connaissance de son fonctionnement et de celui de son audience pour générer des vues et se constituer une communauté.

L'une des valeurs clés de l'ISEG Marketing & Communication School est la professionnalisation des étudiants. C'est pourquoi, chaque année se déroule le Career Meting, un forum qui rapproche les entreprises qui recrutent et les étudiants motivés. Pour les professionnels, c'est aussi un excellent moyen de se constituer une CVthèque de Niveau Bac+1 à Bac+5.

L'édition Strasbourgeoise 2018 s'est déroulée le Jeudi 15 février, pas moins de 50 entreprises se sont déplacées sur le campus de Strasbourg afin de recruter nos étudiants. Parmi ces entreprises, des mastodontes de la région, tels que Décathlon, Auchan, Würth, Les Estudines, Etam, Nespresso, la Société Générale, l'Eurométropole... Mais aussi, des nouveaux présents comme l'URSAFF, qui a fait sensation auprès des étudiants.

Cet événement incontournable donne chaque année à nos étudiants l'opportunité de décrocher un stage de fin d'année.

Comment ? A travers un « job dating » où les candidats ont 10 minutes pour convaincre les entreprises présentes de l'intérêt de leurs candidatures.

Par ailleurs, des corners d'optimisation ont été mis en place pour améliorer les CV de nos étudiants ainsi que leurs présentations face aux recruteurs.

Quand ont pensé nos étudiants ? Nous en profitons pour échanger avec l'un des candidats afin de connaitre son ressenti sur cette expérience.

« J'ai participé au Career meeting 2018 et j'en tire une expérience positive. Sur une journée, j'ai eu la possibilité de rencontrer des représentants d'entreprises issus de divers secteurs. Echanger avec eux, a été un excellent moyen d'en apprendre plus sur leurs activités et de savoir si le secteur m'attire réellement. J'ai également eu l'opportunité de déposer personnellement mon CV et surtout d'échanger. Le temps fort de cette journée, a été pour moi, la rencontre avec la directrice communication de l'Eurométropole qui s'est plutôt très bien déroulée ;) ! » Brayan Farhina, MCS4.

Et les entreprises dans tout ça ?

« Nous avons été très satisfaits de l'organisation du forum et de la qualité des candidatures de l'ISEG Marketing et Communication School. Nous avons rencontré des étudiants tous plus motivés les uns que les autres et le choix sera difficile. » Delphine Meyer, Karanta, Tenis technique & Lifestyle

Merci aux étudiants et aux entreprises de nous avoir permis de faire de ce Career Meeting un succès.

Si vous aussi, vous souhaitez intégrer le programme Grande Ecole de l'ISEG Marketing et Communication Strasbourg à compter de septembre 2018, vous pouvez contacter Vincent Sirot au 03 88 36 02 88.

Au programme de cette seconde journée : immersion et découverte du motion design pour les uns, du développement web pour les autres !
Et cela, grâce à nos Ecoles partenaires présentes au sein du Groupe IONIS : E-artsup et Epitech !

La journée est toujours dédiée à de la découverte ou de l'approfondissement mais ici sur des domaines spécifiques à la création. Nos étudiants découvrent alors les fondamentaux du développement web et du motion design. Alors que ces derniers ne voyaient que le travail fini (sur une vidéo ou un site web) ils s'initient directement à la création même d'une production vidéo ou d'un site web. Un moyen de comprendre les mécanismes de création et de les adapter ensuite aux domaines du marketing et de la communication.

Très fiers de notre étudiant de 1ère année, Léo, qui a découvert le motion design et a produit cette animation très réussie !

Merci à Guillaume Amauger, Directeur E-artsup Toulouse et à l'équipe des Cobras d'Epitech pour leur disponibilité !

En ce mercredi 7 février nous avons eu le plaisir de rencontrer Noémie Buffault, conseillère en communication digitale à Nantes. Elle nous a éclairés sur les coulisses de la communication sur les réseaux sociaux de par son expérience pointue dans ce secteur.

La formation journalistique de Noémie lui a permis de travailler pour de grandes entreprises du secteur public. En effet, après avoir été community manager pour la Mairie de Paris, elle y est devenu responsable du pôle média puis responsable des réseaux sociaux au ministère des affaires étrangères. Lors de son arrivée sur Nantes, elle devient Social Media Manager de Nantes métropole.

Elle nous affirme que le secteur public est un terrain difficile de par le fait que la concurrence avec les autres villes est très importante, que les responsables sont souvent difficiles à convaincre car ils ignorent l'importance des réseaux sociaux et les politiques ne veulent en général pas communiquer.

Lorsqu'elle travaillait à la Mairie de Paris, le lancement de l'application mobile « Paris à la seconde » fut un échec étant donné que le public était essentiellement sur Twitter. Elle prend alors les choses en main et créer le compte Twitter « Paris j'écoute » qui recense aujourd'hui plus de 8000 abonnés. Elle défend le fait que c'est un levier indispensable pour faire changer les choses et ainsi être plus proche des Parisiens en répondant à toutes leurs questions. Cela procure un sentiment de surprise, car ils ne s'attendent pas à une réponse de la part de la Mairie de Paris.

Son métier n'a pas été choisi au hasard. En effet, elle voulait faire quelque chose qui ait du sens. De plus, son attrait pour la politique lui a donné envie de rester en contact avec ce milieu. Le goût du risque est un facteur essentiel pour cette femme qui n'a pas froid aux yeux et qui aime les challenges.

Pour tous les étudiants intéressés par ce secteur, elle nous dit de foncer ! C'est un terrain de jeu vaste car le budget est plutôt intéressant. De plus, la plupart de la hiérarchie ne connaît pas grand-chose au digital, ce qui laisse une grande liberté d'action. Le conseil global qu'elle donne aux étudiants est de faire le plus de stages variés possibles pour appréhender différents cœurs de métiers et ainsi faire les meilleurs choix possibles à l'avenir.

Le meilleur souvenir de Noémie est la Journée du Tweet à Paris (#JDTAP sur Twitter) qui a merveilleusement marché et qui l'a même inspiré pour écrire un livre du même nom. Elle avait peur que ça se transforme en « Journée du Troll à Paris » et finalement non, tout le monde à jouer le jeu avec bienveillance. Nous nous sommes demandé pourquoi avoir écrit un livre alors que c'est une digitale native. Elle nous a répondu simplement que les stagiaires le demandaient, il y avait une niche, elle l'a donc saisi sans hésiter !

Dans dix ans, Noémie se voit bien à l'étranger à faire de la stratégie de communication.

Cet article vous est proposé par Tabata Got, étudiante en 3e année.

En ce début d'année, nous avons eu le plaisir de recevoir entreprises et partenaires qui ont bravé le froid et le verglas afin de participer à notre Career Meeting Stages & Emplois IONIS 2018, toujours en collaboration avec trois autres écoles du Groupe IONIS (ISG PBM, E-artsup, SUP'internet) présentes sur le Campus Parmentier.

Ce froid glacial n'a pas non plus empêché certains de nos anciens élèves, comme Julien Goupillot (promo 2005, Paris), Manager Executive Senior chez Page Personnel et Laëtitia Mattioli (promo 2017, Paris) co-fondatrice de Nowadays Agency, de venir à la rencontre des étudiants afin de leurs proposer de superbes offres de stage.

Nous tenons à remercier les entreprises ainsi que les étudiants qui ont participé à l'évènement malgré les conditions climatiques de ce jour-là ! Promis, l'an prochain, nous choisirons une date au printemps ! ;-)

Au programme de ce 3è jour : comment le Digital a impacté l'influence et les medias ? et qu'est-ce que l'influence aujourd'hui désormais ?

Pour lancer cette matinée, nos étudiants ont eu la chance de bénéficier de l'expérience d'Anouk Dequé, fondatrice de son agence de RP, lobbying et influence, vice-présidente de la CCI31 et animatrice de la commission sur l'innovation et l'intelligence économique. Durant plus d'une heure, elle est revenue sur l'essence même de l'influence et son évolution au prisme du numérique, qui prend une part de plus en plus importante, tant nos notre quotidien personnel que professionnel.

Deuxième conférence de la journée animée par Marie Charrière, Directrice associée au sein de l'agence Anouk Dequé, avec Sébastien Marcelle, Responsable vidéo à La Dépêche du Midi, qui met en avant l'avancée et les différentes évolutions de la presse. On y apprend la création d'un article, les sources d'informations utilisées et les difficultés rencontrées. Le sujet a notamment permis d'aborder la transition ou non sur des médias spécifiquement numériques. Aujourd'hui les cibles utilisant les deux médias, la presse papier n'assure pas un échec imminent.

Nos étudiants terminent leur matinée avec une dernière conférence sur les médias et le numérique, réalisée par Emmanuelle Leneuf. Cette journaliste a créé la première revue de presse via Twitter via son compte FlashTweet, alimenté par une communauté d'influenceurs qu'elle a su fédérer autour d'elle. Retrouvez l'excellente interview de Benoit Raphael à son sujet (extrait) : "Ce qu'a fait Emmanuelle est assez différent. Elle n'a pas seulement créé une sélection intéressante d'infos glanées sur Twitter. Elle a créé une véritable communauté d'experts, addicts de son #flashtweet, qui sont devenus, au fil du temps, ses premiers éclaireurs et ses ambassadeurs. Et pas n'importe quels experts : on trouve dans la communauté d'Emmanuelle des cadres de grandes entreprises, des patrons, des influenceurs qui retweetent ses infos, lui amènent des liens à partager et lui font sa pub. Des gens très sérieux à qui elle envoie des smileys colorés à longueur de journée pour les remercier et qui ont l'air de trouver ça parfaitement cool.

Mais surtout, Emmanuelle a inventé une nouvelle façon de consulter Twitter.

Le Flashtweet c'est quoi ? Chaque matin à 7h30, Emmanuelle publie 10 tweets, 10 infos qu'il ne fallait pas rater sur l'innovation et la transformation numérique. C'est tout."

Clélia, pouvez-vous nous parler du Twirling Bâton ?

J'ai commencé le twirling à l'âge de 7 ans mais je suis née dedans car ma mère en a fait pendant plus de 20 ans. Le Twirling Bâton c'est un sport peu connu, pour les gens c'est de la majorette mais ce n'est pas du tout cela ! Cela ressemble plutôt à la gymnastique rythmique. Mon sport allie le maniement du bâton, la danse, la gym et le théâtre, c'est un sport complet qui regroupe souplesse, force, agilité et compétition. C'est un sport qui se pratique seul, en duo, en équipe ou en groupe. Ce qui me passionne c'est le fait de se donner à fond les quelques minutes où on se retrouve sur le praticable pour donner le meilleur de soi-même.

Qu'est-ce que votre passion vous apporte dans la vie, en quoi vous aide-t-elle ?

D'abord, je dirais que le twirling m'a apporté une seconde famille parce que j'ai grandi avec mes coéquipières et aujourd'hui on partage bien plus qu'une passion commune. Aussi, je dirais que le twirling c'est ce qui fait la personne que je suis aujourd'hui, cela m'a apporté de la détermination, mon esprit d'équipe et ma motivation en toutes circonstances.

C'est difficile de concilier études et passion ?

Si on veut, on peut. Je ne pense pas que ce soit difficile de concilier études et passion, il faut juste se donner les moyens, une bonne organisation et une bonne gestion de son temps. Par contre, il faut savoir faire des sacrifices, notamment pour les sorties entre amis ou autres auxquelles on ne peut pas toujours participer.

Quelles qualités requiert votre passion ?

Je dirais que le twirling requiert beaucoup de qualités car il faut savoir gérer trois disciplines en même temps, la danse, la gym et le bâton. Il faut aussi savoir gérer son stress et oser se lâcher devant le public.

La meilleure opportunité que vous avez eue grâce à votre passion ?

La plus belle opportunité que j'ai eue grâce à mon sport c'est de représenter la France à deux reprises pour des compétitions internationales, en coupe d'Europe et en coupe du monde. Ce sont des souvenirs qui resteront gravés à jamais!

De quoi êtes-vous la plus fière ?

Ma plus grande fierté c'est d'avoir participé à la coupe du monde 2017, d'être allée jusqu'en finale et d'avoir terminé 9e, mais aussi de partager cette passion avec ma mère !

Qu'aimeriez-vous dire à ceux qui ne connaissent pas votre passion ?

Je ne suis pas une majorette et j'espère que l'on fera enfin la différence entre mon sport et celui des majorettes !

Visionnez la démonstration de twirling Bâton par Clélia Burgine !