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Channel: ISEG, l'école du Digital, du Marketing et de la Communication
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[Invité de la semaine #10] : Ph Partners, le conseil stratégique en restauration

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Rencontre avec Oliver Schram, co-dirigeant de l'agence PH Partners depuis 17 ans, qui nous a fait découvrir son métier de consultant à travers un secteur bien particulier, la restauration collective.

ecole-marketing-communication-iseg-nantes-paysdelaloire-formation-bac5-iseguest10.JPGL'agence PH Partners est basée à Nantes mais travaille dans la France entière et également avec des pays limitrophes tels que la Suisse et aussi les DOM.
Le métier d'Olivier Schram consiste à conseiller différents clients qui sont les collectivités, les administrations, les entreprises, les autorités concédantes, en bref tous les secteurs de la restauration hors foyer. Cela peut concerner des environnements très variés tels que les aéroports, les écoles et les salles de spectacle.

Sans s'en rendre forcément compte, nous sommes en permanence confrontés à la problématique de la restauration, et cela donne lieu à d'innombrables opportunités en terme de conseils et d'audit en Europe et à l'international, ce qui est très intéressant. La notion de culture est aussi un paramètre à prendre en compte, en effet malgré l'uniformisation du monde dans la plupart des secteurs, la nourriture reste encore un réel attrait de la personnalité d'un pays.

La restauration collective comprend trois environnements différents, tout d'abord, les lieux d'enseignements, puis la restauration d'entreprise et administration et tous les établissements en lien avec la santé.
Les problématiques auxquelles répondent Ph Partners viennent beaucoup d'autorités de concession, c'est à dire qu'elles concèdent leur service de restauration à une entreprise externe. Nous pouvons voir l'exemple de Vinci qui ne peut pas se permettre de gérer à lui seul la coordination de ses 300 aires d'autoroute en terme de restauration.
De plus que la tendance actuelle est d'améliorer les services de restauration dans les lieux communs tels que les aéroports, les gares, où la restauration n'est pas l'élément central mais un service qui participe grandement au confort et au bon déroulement du moment passé par l'usager.
L'offre de Ph Partners dans ce cadre est donc de répondre le mieux possible à la demande du client, tout en prenant en compte l'environnement et la culture de l'entreprise qui s'adresse à elle et cela nécessite beaucoup de diplomatie.

Enfin la restauration étant un environnement qui se renouvèle sans cesse, la société doit évoluer en même temps que les demandes de leur clients en terme de conseils. La digitalisation qui touche évidemment aussi ce secteur est porteur de nouvelles opportunités à exploiter, ainsi que la curiosité de tout ce qui se passe à l'étranger, il ne faut pas être fermé. Dans cette optique, PH Partners a créé la convention professionnelle « Cantina » depuis 2007, ce qui donne lieu à un événement tous les deux ans avec une thématique centrale, qui est traitée lors de conférences et témoignages. Le thème de la Cantina 2018 est « Mais où vont vos assiettes » par rapport aux problématiques environnementales que cela pose, et aussi sur tous les nouveaux comportements alimentaires qui en découlent tels que le veganisme, le végétarisme, le sans gluten qui touchent de plus en plus de personnes...


Cet article vous est proposé par Joséphine Arcade, étudiante en 3e année.



[SAVE THE DATE] Venez nous rencontrer le samedi 3 février de 10h à 17h

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Venez nous rencontrer et découvrir #lecolequidedortjamais !

Samedi 3 février 2018 de 10h à 17h, l'ISEG Marketing & Communication School Lille vous ouvre ses portes au 60 boulevard de la Liberté à Lille.

Quel programme ? De 10h à 12h30 : Atelier « Le monde des marques »

De 14h à 15h : Conférence « Les forces de notre pédagogie »

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Nous vous remercions de bien vouloir vous inscrire par mail à l'adresse : simon.lesaffre@mcs.iseg.fr ou par téléphone au 03.20.15.84.38.

Nos étudiants ont du talent ! Focus sur Camille Juredieu et la peinture abstraite

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Camille Juredieu, étudiante en 3e année, nous parle de sa passion, la peinture abstraite !

Camille, pouvez-vous nous parlez de votre passion ?

Je fais de la peinture abstraite. Je peins sur toile avec de l'acrylique et de la peinture à l'huile.

Un tournant important s'opère dans l'art au XXe siècle dans le monde artistique avec le développement de l'abstrait. Ce tournant s'explique par l'apparition de la photographie. En effet, les peintres représentaient jusque-là la réalité pour témoigner de leurs voyages et des époques. Des peintres ont alors la démarche de proposer une image complètement abstraite. Les peintures abstraites ne renvoient pas à la réalité, contrairement aux peintures réalistes, mais renvoient à elles-mêmes. En effet, elles sont autonomes et rompent avec le monde des apparences. Elles révèlent l'existence de réalités jusqu'alors invisibles et inconnues, comme les émotions et les sentiments. Chaque artiste détermine sa réalité selon ses convictions, son parcours et sa culture.

Qu'est-ce que votre passion vous apporte dans la vie, en quoi vous aide-t-elle ?

Avez-vous déjà eu la sensation que les mots que vous employez ne suffisent pas à décrire ce que vous ressentez au plus profond de votre être ? Ils sont trop fades pour décrire ne serait-ce que la moitié de ce qui vous fait vibrer...? C'est ce qu'il m'arrive tous les jours. Ou alors peut-être que je ne suis pas douée avec les mots, peut-être que je n'arrive tout simplement pas à m'exprimer comme je le souhaiterais. Ou peut-être que ce que je ressens est beaucoup trop fort et intense pour le dire ? C'est pour cela que je considère la peinture comme un remède. C'est ma façon de traduire mes sentiments les plus profonds. Sur un fond de musique, je m'évade et laisse libre cours à mes émotions pour que transparaisse sur la toile une succession de couleurs et de formes informes qui constituent ma vie et mes ressentis.
Comment des mots peuvent rendre compte de quelque chose qui n'est pas tangible ? C'est tout le but de l'art abstrait.

C'est difficile de concilier études et passion ?

Je suis libre de peindre quand je veux, il n'est donc pas difficile de concilier mes études et ma passion, je pense même qu'elles peuvent être liées.

Quelles qualités requiert la peinture abstraite ?

La difficulté est d'affronter le regard des autres sur mes œuvres. Comme je le disais, elles représentent mes sentiments, elles dévoilent une partie de mon être à un instant T. Montrer mes toiles c'est me mettre à nu face à mes amis, ma famille, des inconnus.

La meilleure opportunité que vous avez eue grâce à votre passion ?

Grâce à la peinture j'ai pu participer à des événements et rencontrer des personnes qui m'ont aidée à grandir et affronter le regard des autres !

De quoi êtes-vous la plus fière ?

Je suis fière d'avoir trouvé ma façon de m'exprimer librement et d'extérioriser mes émotions.

Qu'aimeriez-vous dire à ceux qui ne pratiquent pas ou ne connaissent pas la peinture abstraite ?

Chacun a besoin de s'exprimer d'une manière ou d'une autre. Mon moyen est la peinture. Et je suis persuadée que chacun a besoin de trouver « sa toile blanche » pour la remplir de ce qui le constitue, le construit et parfois le boque. Ce n'est pas forcément la peinture, certains trouvent cela dans le sport, la musique, l'écriture, etc. Toujours est-il qu'il me semble vital de trouver ce qui nous anime afin de nourrir notre esprit.

Retrouvez tout l'univers de Camille son sur magnifique blog et sur les réseaux sociaux facebook.png instagram-png-instagram-png-logo-1455.png

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[#DigitalDays] : Témoignages de Clémence et Annika, étudiantes en 1re année.

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Du 15 au 19 janvier dernier, nos étudiants de 1e année ont été immergés dans l'univers du digital. Une expérience incroyable qui leur a permis de travailler sur la thématique du « phygital », autrement dit, la digitalisation du point de vente. Cette semaine a été rythmée par la venue de plusieurs conférenciers et entreprises de ce secteur afin de leur présenter leurs métiers ainsi que les enjeux de la digitalisation.

photo ddays 2.JPGToutes ces rencontres ont permis à nos étudiants de mener à bien leur projet de digitalisation d'un point de vente et/ou d'un concept store. Encadrés et guidés par les intervenants des Digital Days, 4 équipes ont été sélectionnées pour présenter leur concept le vendredi 19 janvier.

Nos jeunes étudiants ont eu la chance d'être coachés par Benjamin ADLER, journaliste et Gaël CLOUZARD, rédacteur en chef et associé au média INfluencia, la revue de la communication et des tendances.

Influencia photo ddays.JPGTémoignages de Clémence et Annika qui ont fait partie de l'une des équipes sélectionnées

Clémence Eyraud, étudiante de 1re année, revient sur la Digital Days.

Annika et clémence.JPG« Cette semaine Digital Days était vraiment intéressante, les nombreuses conférences étaient passionnantes et nous ont été profitables dans la construction de notre projet. Ces moments d'échanges nous ont permis de comprendre l'ère dans laquelle nous vivons. Avec mon groupe, et après plusieurs heures de brainstorming, nos différentes idées se sont assemblées pour n'en faire qu'une ! Nous avons eu « l'honneur » d'être sélectionnés parmi les quatre premiers groupes et nous avons ainsi pu défendre notre projet à l'oral. [...] J'ai vraiment apprécié cette semaine. L'esprit de « compétition » était très amusant et à la fois stimulant quant à la qualité du projet à rendre. Le coaching a été plaisant car nous étions jugés par des professionnels. »

Annika Roesch, étudiante en 1re année, nous raconte sa semaine.

« [...] Nous avons présenté un projet qui a pour objectif d'améliorer l'expérience client. Notre initiative consiste à créer un concept store servant de mise en relation entre le travail d'artisans locaux et les consommateurs. L'objectif est de faire vivre une expérience d'achat, en projetant le client chez lui, grâce à un casque de réalité virtuelle qui lui permet d'ajouter la sélection de meubles qu'il souhaite. Le client peut également confectionner son meuble sur-mesure ou modifier un meuble existant grâce à nos collaborations avec différents magasins. L'idée du « cuisiniste » s'est ainsi imposée à nous. [...] »

Merci à nos étudiantes pour leurs témoignages.

Si vous aussi, comme Clémence et Annika, vous souhaitez intégrer l'ISEG Marketing & Communication School Nantes, vous pouvez nous contacter au 02 40 89 07 52 ou téléchargez votre dossier de candidature en ligne.

[ISEGuest] Frédéric Cherouvrier (Orange), un parcours sous le signe de l'expérience

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Ce mardi 5 décembre, c'est au tour de Frédéric Cherouvrier, aujourd'hui responsable de la communication digitale chez Orange, de venir nous présenter son parcours, ses anecdotes et ses conseils. Une intervention très interactive avec les iségiens de 3ième année.

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De la pratique, encore de la pratique, toujours de la pratique...

Frédéric Cherouvrier s'est formé « sur le tas ». N'ayant pas de diplôme, il part sur les routes en 1978. Et ces routes le conduisent à exercer plusieurs corps de métiers. Entre les postes de comptabilité et ceux de magasinier, il ne s'arrête pas. A cette époque, le minitel était en pleine expansion et il pouvait observer les prémisses d'Internet. Il se lance alors dans cet univers et se fait embaucher par Comed. Là où commence son apprentissage digital.

De la messagerie rose à la télécommunication...

Qu'est-ce que Comed ? Comed est une entreprise de messagerie rose dans laquelle il développe des serveurs et où il peut créer des hébergements à partir du minitel. Il commence tout doucement à toucher à l'informatique. Frédéric s'est lancé dans Comed dans le but de comprendre l'utilisation du minitel et de pouvoir le proposer à des entreprises. Pour lui, avancer en même temps que le développement d'internet a été une réelle opportunité. Il créait petit à petit une valeur ajoutée que les entreprises n'allaient pas tarder à rechercher.

Au bout d'un an et demi, il décide de quitter Comed. Cependant, il avait réussi à se constituer un carnet d'adresse intéressant. Ayant travaillé avec plusieurs agences afin de leur apporter ses compétences, il était arrivé à avoir une bon catalogue de sociétés et donc de bonnes références.

En 1993, son histoire avec la télécommunication commence... Il entre chez France Télécom toujours pour travailler sur le minitel. Deux ans plus tard, il travaille sur Internet : une nouvelle force de vente. Avec cette entreprise, il a eu l'opportunité de travailler sur la création d'un site pour l'Eglise Catholique par exemple en 1996. Il a également eu la chance de travailler, lors de la Coupe du Monde de 1998, avec des joueurs brésiliens afin de les former à Internet : Une de ces plus belles anecdotes.

L'appel de la ville rose...

En septembre 1999 une nouvelle vie s'offre à Frédéric. N'ayant eu que des opportunités parisienne, c'est cette année-là qu'il arrive à Toulouse pour une réunion avec La Dépêche. L'entreprise recherchait à ce moment-là, à recruter une personne avec un profil similaire à Frédéric. Après réflexions, il se lance et aménage il y a 18 ans au cœur de la ville rose. Au sein de La Dépêche, Frédéric Cherouvrier s'occupait de gérer les partenariats et de former les salariés à Internet. Et en 2001 il réalise une action de communication qui restera dans les annales. Partenaires du Rio Loco cette année-là, ils sont les premiers à diffuser le festival en direct live sur Internet. Frédéric prend alors la décision de s'intéresser aux différentes innovations.

Frédéric Cherouvrier et Orange...

En tant que chef de projet innovations, Frédéric commence sa longue histoire avec Orange. Et petit à petit, et voyant l'importance que commençaient à prendre les réseaux sociaux, il se rend à la direction régionale et se bat pendant 6 mois pour avoir la main dessus et pouvoir y communiquer. Aujourd'hui l'entreprise est présente sur Twitter et a une page boutique sur Facebook. Frédéric confie qu'Orange à le souhait de s'orienter vers d'autres réseaux sociaux. Il devient alors responsable de la communication digitale il y a 1 an et demi.

Frédéric Cherouvrier nous explique que la société est structurée en région et qu'Orange Occitanie souhaite gagner en visibilité. Il met un point d'honneur à nous donner quelques conseils... Selon lui, la prise en main et la débrouille sont les clés de la réussite. Il ne faut pas attendre qu'on nous apporte tout et qu'il faut impérativement commencer à faire nos propres relations publiques. Il souligne aujourd'hui l'importance d'avoir une empreinte digitale.

Frédéric Cherouvrier via son parcours atypique, a su donner envie aux étudiants de se battre et de développer leurs personnalités professionnelles. De quoi créer pleins de projets...

Cet article vous est proposé par Sophie, MCS3

ISEGuest: la passion, la veille et l'audace comme clés de réussite

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En ce début d'année, Mathieu Laurent, fondateur de l'agence Youtuberlink et expert en vidéo marketing (Référencement, Channel management, Adwords vidéos, OP Youtubers), est venu nous présenter son parcours professionnel lors de l'invité de la Semaine au sein du campus de l'ISEG Maketing & Communication School de Bordeaux.

Retour sur une rencontre riche d'inspiration
C'est au sein du groupe IONIS et de par son implication associative, que Mathieu Laurent a semé les premières graines d'un parcours professionnel guidé par son audace et son investissement personnel. En effet, ayant une forte fibre artistique, il décide de créer une association dédiée à la photographie lui permettant ainsi de participer à un concours européen organisé par Perrier. Cette expérience associative associée à un stage chez Universal au sein du pôle photographie lui permet de décrocher son premier emploi au sein de la chaine musicale MCM. Par la suite, il devient Responsable Communication du pôle billetterie à la FNAC, puis Responsable Marketing Europe pour la chaine musicale, MTV.

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L'univers du digital et l'envie d'entreprendre
Son attirance pour l'univers du digital et son envie d'entreprendre l'incitent à créer sa propre agence spécialisée dans la vidéo mobile. Il organisera ainsi le premier Mobile Film Festival. Il se spécialise ensuite dans le développement d'applications avec Carré d'App. Pour se démarquer de la concurrence, il propose une offre complète incluant l'achat vidéo ainsi que la réalisation du plan média. Il subira malheureusement, les aléas de l'offre et de la demande, sur un marché très concentré. Ne restant pas sur un échec, désireux d'innover et de s'enrichir, il crée YoutuberLink, le premier service d'informations et d'accompagnement dédié aux entreprises qui souhaitent communiquer sur YouTube. Grâce à une analyse et une anticipation de la montée de Youtube en France et son atout stratégique en termes de contenus pour les marques. Il a su proposer une offre adaptée au marché. En effet, Youtube reste aujourd'hui le second moteur de recherche juste après Google. Il est donc indispensable pour les marques de se l'approprier et d'établir une stratégie adaptée et innovante, ce qu'offre YoutuberLink, de par une offre variée de services.

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A travers son parcours, quelques enseignements à retenir de cette belle rencontre : la nécessité constante de faire de la veille afin d'identifier les futures tendances pour se les approprier, avoir l'audace de se lancer dans de nouveaux projets, et surtout être passionné !

Cet article a été rédigé par nos étudiants de 3e année : Ali Amoun, Lisa-May Arnassalon, Maïna Alizié, Margaux Asad, Mathilde Alves et Sophia Belmachi

Etudier en Californie : un rêve qui devient réalité

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3 questions à Tristan Lassour, étudiant à l'ISEG Marketing & Communication School Bordeaux en 4ème année

Pouvez-vous nous parler de votre séjour à Irvine ?
Partir à l'étranger pour étudier est déjà une chance et une incroyable opportunité, mais partir en Californie, c'est véritablement un rêve qui devient réalité !

On se retrouve littéralement plongé dans une ambiance très américaine. Le campus ressemble à ceux que l'on peut voir dans les films ou les séries. Les étudiants mettent en avant leur fraternité étudiante, l'après-midi ils organisent de nombreuses animations et on croise au moins 2 bus jaunes toutes les 10 minutes. L'université d'Irvine est située dans une petite ville avec ses commerces, ses quartiers, son immense parc et ses nombreux fasts-food. Côté logement, nous avions la chance de faire une colocation dans un appartement avec deux salles de bains. Nous avions également accès à un terrain sportif, une salle de sport, une piscine et un jacuzzi dans la résidence.

Concernant les sorties, il y a vraiment de quoi faire à Irivine. Se rendre dans un centre commercial devient une vraie sortie à l'américaine ! On peut sortir au cinéma, dans les bars à ambiance et les Dinners dans la pure tradition américaine. On peut également profiter des belles plages de Newport, pour surfer ou juste admirer un coucher de soleil Californien et le prolonger autour d'un feu sur la plage. Newport est aussi une bonne destination nocturne avec ses nombreux bars. Personnellement je conseille le Sharkies pour tous ceux qui ont 21 ans bien sûr ! La ville de Los Angeles se trouve à environ 1h en voiture d'Irvine, c'est aussi une destination incontournable pour le Hollywood sign et le Walk of Fame.

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Qu'est-ce que cette expérience vous a apporté ?
Etudier le marketing et la communication aux Etats-Unis est une véritable chance, il ne faut pas oublier que ce sont les américains qui sont précurseurs sur ces domaines. Ils ont une vision totalement différente de la nôtre sur ces questions et sur le business en général. Au-delà de cet échange de culture tout est fait pour mettre les étudiants à l'aise et les accompagner. Le personnel de l'Université ainsi que les professeurs sont réellement à l'écoute et les Californiens n'ont pas volé leur réputation d'être très accueillants !

Ce trimestre à l'étranger m'a surtout apporté une vision et une façon de penser très différente. Notre promo était internationale, on côtoyait tous les jours des Brésiliens, des Allemands, des Japonais et bien sûr des Isegiens venant d'autres campus. Ce mélange de culture et le fait que l'on communique uniquement en anglais, nous force à nous ouvrir aux autres. C'est probablement ce que je retiendrai le plus de mon trimestre à Irvine.

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Quel conseil donneriez-vous à un étudiant souhaitant partir étudier à Irvine ?
Si vous avez l'occasion d'étudier à Irvine, n'hésitez surtout pas à franchir le cap. Partir en immersion dans un pays sera très bénéfique et vous permettra de rencontrer des personnes très différentes de vous et de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Ce sera également l'occasion de visiter des lieux emblématiques des Etats-Unis comme le Grand Canyon et de vivre des moments inoubliables. Assister à un match des Playoff est un souvenir que je garderai toute ma vie !

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Cet article vous est proposé par Tristan Lassour, étudiant en 4ème année

[#Flashback] Challenge 48h chrono !

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Le 48 heures chrono est l'un des événements les plus attendus par les étudiants de 2ème année car il leur permet d'être directement confrontés aux questionnements des entreprises tout en essayant de résoudre une problématique réelle. Cette année, c'est Selectour qui a fait appel à eux.

L'objectif du 48h chrono

C'est par groupe de 4 ou 5 que les étudiants ont 48h pour répondre au mieux au brief qu'ils ont reçu. Ce travail intensif, conjugue la capacité d'analyse rapide et de décision, la créativité et la dynamique d'un groupe.

L'annonceur et sa problématique

L'annonceur est Selectour, 1er réseau d'agences de voyages qui souhaite changer de positionnement. Ainsi, les étudiants ont travaillé à la création d'une nouvelle signature pour la marque. Le souhait de l'annonceur était de proposer un concept et un visuel clé pour cette création.
Logo selectour.pngBriefés Jeudi 15 Décembre à 12h, ils ont eu jusqu'au samedi pour rendre leurs recommandations comme de vrais professionnels !

Aidés par nos professeurs, nos étudiants ont réussi à produire un travail de qualité et nous les félicitons !
Un bravo tout particulier à Julia DETREZ, Vivien TESS, Amelie TETE et Laura TAORMINA qui arrivent 1ere ex-aequo avec l'ISEG Lyon du podium national.

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Vainqueurs mais avec quel projet ?

"Plus proche pour aller plus loin" : avec cette signature, nous avons voulu traduire qu'une relation privilégiée entre le conseiller et le client va avoir une très grande influence sur le voyage de ce dernier : plus le client est proche de son conseiller, plus il pourra aller loin, au sens propre comme au figuré. De façon plus précise, plus le consommateur aura confiance en son conseiller, plus il pourra voyager loin."

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Et ce 48h chrono ?

« Nous attendions avec impatience les 48h chrono, car ce genre de challenge permet de nous mettre en situation et de nous challenger. Ce challenge a été une expérience unique et riche en émotions qui nous a poussé dans nos retranchements et demandé d'être toujours plus créatifs. En tout cas nous sommes ravies d'avoir gagné ce challenge. »


Pour nous rejoindre à la rentrée prochaine, ISEG Marketing & Communication School Strasbourg, 4 rue du dôme, 03 88 36 02 88.


[Journée Portes Ouvertes] Samedi 3 Février de 10h à 17h !

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Vous avez une affinité avec l'univers du marketing et de la communication ?

Pour choisir votre orientation scolaire, venez découvrir #lecolequinedortjamais !

Samedi 3 février 2018, l'ISEG Marketing & Communication School vous accueille de 10h à 17h au 40 Boulevard de la Marquette.

Cette journée est l'occasion pour vous de visiter les locaux, de discuter de votre orientation avec des intervenants professionnels, et de rencontrer toute l'ISEG TEAM... Mais pas seulement !

A 14h30 le directeur de l'école, Monsieur Laurent Martel intreviendra sur la problèmatique suivante : "La profesionnalisation des études, un enjeu clé".

Il sera secondé par la Chargée des Relations Entreprises, Laura Forcellini, qui mettra l'accent sur l'accompagnement dans la recherche de stages des iségiens ainsi que des témoignages d'étudiants actuellement en contrat de professionnalisation dans différentes entreprises.

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Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à contacter Molida Luy par mail via molida.luy@toulouse.iseg.fr ou par téléphone au 05.61.62.35.37.

On vous attend nombreux !

[Invité de la semaine #11] : Uber Eats débarque dans l'Ouest !

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Après Deliveroo et Foodora c'est au tour du géant Uber de s'installer dans la cité des Ducs. Ce service de livraison de repas est arrivé en France en 2016 dans deux villes. Aujourd'hui, l'entreprise Uber Eats est présente dans 22 villes partout en France, dont Nantes. Uber Eats s'installe sur un marché déjà très concurrentiel.
Mais alors quelles sont les clés de réussite d'Uber Eats pour réussir son installation dans l'Ouest ?

Ce mercredi 17 janvier 2018, nous avons eu l'opportunité de rencontrer Jérémy Clos : responsable Uber Eats dans la région Grand Ouest. A 27 ans et tout droit sorti d'école de commerce, Jérémy Clos a d'abord commencé sa carrière en cabinet de conseil pour de grandes entreprises parisiennes. Puis il intègre l'entreprise Uber et est nommé responsable régional Grand Ouest.

ecole-marketing-communication-iseg-nantes-paysdelaloire-formation-bac5-iseguest-11.JPGJérémy Clos dirige une équipe de trois personnes : un responsable coursier, un responsable partenariat restaurant et un business développeur. Uber Eats compte désormais près de 80 000 restaurants partenaires. Pour ce qui est de la livraison nantaise, Uber Eats couvre un périmètre de 12 km par 10 km allant jusqu'à Saint Herblain. La densité de commandes est importante. Au lancement de l'entreprise dans la région Ouest, personne ne savait comment le service allait répondre. La concentration d'une population étudiante dans les villes de Rennes et de Nantes reste tout de même un atout non négligeable. En effet, 56 000 personnes étaient très fortement intéressées par l'arrivée d'Uber Eats sur Rennes.
Uber Eats arrive sur un marché très concurrentiel (Deliveroo, Foodora, Allo resto, Take eat easy, Popchef ...) ce qui a obligé l'entreprise à se différencier de ses concurrents. L'atout majeur d'Uber Eats c'est un restaurant : Mc Donald's. En effet, elle est la seule à proposer la livraison McDo. C'est aujourd'hui le restaurant le plus livré. Uber Eats propose également une offre très variée à ses consommateurs. L'entreprise est en recherche perpétuelle de nouveaux restaurants pour offrir un large choix de menus et de repas, de la cuisine traditionnelle française à une cuisine plus exotique. Et enfin, il n'y a pas de minimum de commandes ce qui permet aux portefeuilles moins fournis de pouvoir commander, notamment pour les étudiants.
Aujourd'hui peu de personnes connaissent Uber Eats, seulement 15% des personnes interrogées. Pour pallier à cette faiblesse, l'entreprise met en œuvre des campagnes de communication deux à trois fois par an. Le but est d'éduquer le consommateur à ce nouveau moyen de consommation. Des affiches et des campagnes TV humoristiques ont été mises en place pour faire découvrir le service. De nombreux partenariats avec des influenceurs sont aussi proposés pour offrir codes promotionnels et autres cadeaux aux consommateurs. De plus, les campagnes sont au niveau national mais Uber Eats propose également des campagnes au niveau local. Cela permet de trouver de nouveaux arguments marketing et de cibler davantage un type de population en s'appuyant sur des partenaires locaux de poids.
En faisant connaître le service Uber Eats, il faut être capable de faire augmenter le nombre de commandes en même temps que faire augmenter le nombre de coursier. A Nantes, on compte 151 restaurants partenaires il faut donc des coursiers en conséquences pour pouvoir assumer le nombre de commandes. Pour la petite anecdote, 17 753 c'est le nombre de kilomètres parcourus par un coursier nantais. Il faut donc être en capacité d'assumer toutes les commandes. Pour recruter de nouveaux coursiers et pallier à la situation précaire des autoentrepreneurs, Uber Eats propose désormais une assurance pour les coursiers en cas de chute ou d'accident.

L'installation récente d'Uber Eats dans l'Ouest est encore trop jeune pour évaluer les réelles retombées des actions mises en place par la nouvelle équipe régionale. Après le succès de son service de transport, le géant Uber réussira-t-il l'intégration de son service de livraison de repas dans l'Ouest ?

Cet article vous est proposé par Margot Charpentier, étudiante en 3e année.

Revivez la journée d'immersion des lycéens sur le campus de Lille

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Le mercredi 31 janvier 2018, le campus de Lille a reçu une vingtaine de lycéens souhaitant intégrer l'ISEG Marketing & Communication School, pour une journée d'immersion avec des étudiants de 1ère, 2ème & 4ème année.

Cette journée d'immersion a pour but de créer de la proximité entre les étudiants et les lycéens, mais également permettre aux lycéens de mieux comprendre le fonctionnement des cours et des projets de l'école. Ces journées sont un véritable temps d'échanges entre étudiants et lycéens.

Nos étudiants ont pu présenter les projets vus en classe ainsi que la vie associative de l'école.

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Dans un premier temps, les lycéens ont pu découvrir l'un des « workshops culturels » de première année sur le thème de l'image et l'audiovisuel. Il s'agissait de créer une vidéo de promotion pour la startup Muwaan spécialisée dans les écrans incurvés déroulables. Le but ? Lever des fonds sur une plateforme de crowdfunding.

Le second projet présenté était lié à un « workshop communication » dans lequel les étudiants de 2ème année avaient 3 jours pour élaborer une stratégie de communication 360 afin de lancer l'application Pumpkin dans la ville de leur choix.

Marine, étudiante en 4ème année Expertise Digital Luxe, a ensuite présenté son projet pour la marque de champagne Mazarus dans le cadre de son Expertise Par l'Action. L'idée était de proposer une expérience client utilisateur qui sera mémorable afin de développer la notoriété de cette toute nouvelle marque.

Ces exemples illustrent l'importance du travail en équipe sur des cas réels, touchant tous les domaines et secteurs d'activité. Il est arrivé que certaines recommandations soient retenues par les entreprises concernées. Cet apprentissage en mode projet leur permet ainsi de valoriser leur CV et de montrer qu'ils sont capables de travailler dans tout type d'entreprise.

Enfin, Chloé et Hektor ont présenté leur association Baz'Art, centrée sur l'art, la culture et le divertissement. L'occasion de faire partager aux lycéens les activités qu'ils ont développées au sein de l'école.

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Les lycéens ont ensuite travaillé avec l'aide de nos étudiants sur un mini-projet : proposer un nom de marque, un slogan et une affiche pour une paire de lunettes disco. Un projet auquel tout le monde a participé avec entrain !

La journée s'est terminée par la présentation des projets sous formes de croquis et par la dégustation d'une superbe galette des rois.

Un grand merci aux lycéens qui étaient présents et à nos étudiants pour leur bonne humeur !

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[ISEGuest] Hélène Denoel, responsable communication à l'international chez Actia

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Hélène Denoel est responsable de la communication à l'international chez Actia. Elle a parcouru plusieurs facettes des métiers de la communication, que ce soit en agence ou directement chez l'annonceur et est venue nous en parler.

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Helene Denoel : Une même base, plusieurs métiers

Son parcours professionnel

Hélène Denoel a fait une école de commerce à Lille, sans aucune idée en tête du métier qui l'intéressait. Très rapidement elle s'est intéressée au marketing, et quand elle était dans son école, à ce moment-là, le graal pour un étudiant était de trouver un job dans le marketing dans la grande distribution. Malheureusement pour elle, le secteur étant très prisé elle ne trouva pas de travail dans ce secteur. Par le plus grand des hasards elle se retrouva dans une agence de pub à Paris dans laquelle elle avait été recrutée pour faire du développement en agence.

Dans cette agence, son rôle était de faire du commercial, de rencontrer les prospects de faire du phoning et de décrocher des budgets, elle a notamment lancé la marque Desperados en 1996.

Au bout de 2 ans elle avait réussi à faire rentrer quelques prospects, et à se faire des clients, elle demanda à passer chef de pub, chef de groupe et directrice de clientèle. Pour se rattacher à son rêve elle a notamment travaillé avec la marque Francine, c'est de cette façon qu'elle a appris le métier et, au bout de 4 ans, elle a voulu travailler avec une plus grosse agence alors elle est partie dans l'agence Grey dans laquelle elle a travaillé pour de gros clients, en lançant par exemple la marque Swiffer.

Son arrivée à Toulouse

Pour des raisons familiales, et pour s'éloigner un peu plus de la vie Parisienne, Hélène décide de s'installer à Toulouse. Après avoir fait postulé sans succès au sein de plusieurs agences, elle décide de candidater pour un poste posté directement par l'annonceur Actia. Actia est un groupe industriel spécialisé dans les systèmes embarqués électroniques pour véhicule, qui a été créé en 1986 par deux familles, les Puech et les Camels, qui en sont aujourd'hui toujours les principaux actionnaires. C'est un groupe indépendant qui est côté en Bourse depuis 2000. Ils étaient une 40aine d'employés à leurs débuts et aujourd'hui ils sont 3300 à travers 16 pays. Le siège social est implanté à Toulouse et cherchait à cette époque un chef de produit. Hélène, n'étant pas qualifiée, n'eut pas le poste. Cependant, Actia cependant également à la recherche d'une responsable de communication, et fit appel à elle. C'était en 2001.

Les ébuts d'Hélène dans l'entreprise furent un peu douloureux et elle cherchait sa place. En effet, Actia est spécialisé dans la confection de systèmes électroniques embarqués pour les véhicules, des cartes électroniques qui vont contrôler tout le système du véhicule. Ce sont des ingénieurs qui travaillent sur de tels projets, et elle se sentait un peu perdue. Il y a une différence entre le travail en agence et le travail chez l'annonceur, en effet en agence c'est le client qui vient vous chercher pour quelque chose qu'il ne sait pas faire, il a vraiment besoin de vous ; a contrario chez l'annonceur, surtout chez un groupe industriel, la communication n'est pas leur priorité. Ils partent du principe que tout le monde peut communiquer et ne comprennent pas en quoi c'est important selon les dires de Hélène De Noël. Avant on lui demandait de faire de la publicité pour des choses qu'elle connaissait, et là c'était plus compliqué.

Son travail en tant que responsable de la communication chez Actia.

La première chose qu'on lui a demandé de faire c'était un salon pour un budget de 200 000€ avec comme objectif de rencontrer des clients et de faire de la vente. Son travail était de développer les supports de communication qui allaient servir au salon, comme des vidéos, des applications ou des supports papier. Aujourd'hui elle s'occupe encore d'une dizaine de salons par an, partout dans le monde. Elle eut aussi une autre problématique, celle de la création du site internet. Quand elle est arrivée à Actia, ils n'avaient pas de site internet, elle a dû batailler pour arriver à leur démontrer qu'avoir un site internet pouvait leurs rapporter de l'argent.

Son travail est partagé en deux, elle fait de la communication institutionnelle pour les investisseurs nationaux ainsi que de la communication relative à de l'accompagnement en interne, les clients en interne veulent aussi savoir comment communiquer, un département de l'entreprise devient client à partir du moment où il vient avec une problématique.

L'an dernier elle s'est rendu compte qu'il y avait une porosité de plus en plus importante entre la communication interne et externe de l'entreprise, elles procèdent de la même dynamique et les meilleurs ambassadeurs d'une entreprise ce sont les collaborateurs, elle a alors décidé de consacrer une bonne partie de son temps à la communication interne et managériale, qui est faite pour que les managers sachent communiquer auprès de leurs équipes ainsi qu'auprès des autres équipes.

En 2016-2017 elle est retournée faire une formation de coaching professionnel afin de développer de nouvelles formes de communications pour aider les managers. Elle part du principe que si on ne continue pas sans cesse à se former et de s'informer dans un secteur aussi mouvant que la communication, on ne peut pas faire de la bonne communication.

Cet article vous est présenté par Nolwenn Lacaze

[Event] Retour sur la semaine des Digital Days

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À l'ère des réseaux sociaux, des milliers de médias et de blogs, des métiers qui naissent et qui disparaissent, il est essentiel de favoriser le sens de l'adaptation mais également d'aider les étudiants à s'affirmer dans leurs passions et leurs choix.

C'est pour cela que, du 15 au 20 janvier 2018, les premières années ont eu la chance de participer à une semaine d'immersion dans l'univers du digital. L'occasion pour eux de démystifier un univers encore flou et en constante évolution. Cette semaine de rupture pédagogique a permis aux étudiants d'y voir plus clair sur des métiers du numérique, encore très vague à leurs yeux.

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Loïc Munck, étudiant de 1ère année, revient sur son expérience.

« Cette semaine des Digital Days était vraiment intéressante, les nombreuses conférences étaient passionnantes et nous ont été profitables. Je suis presque triste qu'elle soit déjà finie. Ces moments d'échanges nous ont permis de comprendre l'ère dans laquelle nous vivons. Nous avons découvert de nombreux « domaines » encore flous pour nous tels que le référencement, les bases du codage et le Brand content. Nous avons eu des intervenants de qualité, plus intéressants les uns que les autres. Je souhaite à tous de vivre une semaine comme celle-ci. »


Valentin Ludwing, étudiant en 1re année, nous raconte sa semaine.

« Les digitals days ont été pour moi très enrichissants, tant au niveau de la théorie que de la pratique. Cette semaine a su allier des intervenants de qualité et des projets créatifs. J'ai pu découvrir des aspects du numérique que j'ignorais, comme la certification Google Digital Active, enseignant les bases du référencement. » « Si c'était à refaire, je le referais sans hésiter ! »

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Cette première expérience et la découverte de la filière numérique a permis à nos étudiants de mieux se projeter dans le choix et l'apprentissage de leurs futurs métiers. Nous attendons les prochains Digital Days avec impatience.


Si vous aussi, comme Loïc et Valentin, vous souhaitez intégrer l'ISEG Marketing et Communication Strasbourg, vous pouvez nous contacter au 03 88 36 02 88.

[SAVE THE DATE] Venez nous rencontrer le samedi 17 février de 10h à 17h

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Venez nous rencontrer et découvrir #lecolequidedortjamais !

Samedi 17 février 2018 de 10h à 17h, l'ISEG Marketing & Communication School Lille vous ouvre ses portes au 60 boulevard de la Liberté à Lille.

Quel programme ? De 10h à 12h30 : Atelier « Le monde des marques »

De 14h à 15h : Conférence « Les nouveaux métiers du marketing & de la communication »

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Nous vous remercions de bien vouloir vous inscrire par mail à l'adresse : simon.lesaffre@mcs.iseg.fr ou par téléphone au 03.20.15.84.38.

Shauna Events : quand Magali Berdah nous parle de la télé-réalité sans tabou !

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Lundi 29 janvier dernier, l'ISEG Marketing & Communication School Lyon recevait Magali Berdah, fondatrice de Shauna Events, pour évoquer la place des influenceurs issus de l'audiovisuel dans les stratégies de marketing & communication des marques. Une conférence qui a fait salle comble, où étudiants et professionnels étaient conviés.

Un an seulement après avoir fondé sa société Shauna Events, Magali Berdah atteint déjà des sommets. C'est en traversant une période difficile que lui est venue l'idée de lier les influenceurs issus de la téléréalité aux marques. Le business de Shauna Events consiste à vendre aux marques des posts publicitaires d'influenceurs issus de la téléréalité vantant les mérites de leurs produits. Un cachet est versé à l'influenceur et l'agence conserve une marge sur la transaction. Deux mois seulement après sa création l'agence Shauna events comptabilisait déjà 80% des candidats de téléréalité. Un an après, elle emploie 20 personnes et gère près de 120 célébrités.

Les influenceurs signent un contrat d'exclusivité, à l'année. Moins de 24h, c'est le temps qu'il faut à l'agence pour monter une opération entre un influenceur et une marque. L'innovation de Shauna Events, c'est permettre à la marque de quantifier son retour sur investissement via des codes promotionnels. En un clic, la marque sait exactement combien de ventes a généré le placement produit réalisé par l'influenceur sur les réseaux sociaux. « L'avantage avec les statistiques d'Instagram, par exemple, c'est que l'on peut connaître immédiatement le profil des consommateurs : leur âge, leurs loisirs, ce qu'ils aiment ». Et c'est un vrai filon pour les marques : certaines, comme Natural Mojo, se sont lancées en faisant de la publicité uniquement sur les réseaux sociaux via les influenceurs. « C'est très risqué pour une marque d'investir dans un spot tv de quelques secondes sans pouvoir connaître son retour sur investissement ni combien de ventes a généré la pub. Quand un spot tv de 30 à 40 000€ touche 800 000 personnes, une publicité sur les réseaux sociaux via les influenceurs coûte quant à elle 1 000 à 2 000€ et touche 1 million de followers. » précise en toute transparence Magali Berdah. Le tarif de la publicité n'est pas indexé sur le volume des ventes et le cachet de l'influenceur dépend du nombre de followeurs ou de likes. Le nombre de codes promotionnels postés par influenceur dépend de son succès et de sa notoriété. « Les influenceurs sont libres, ils testent les produits, peuvent en préférer certains à d'autres. Je leur propose les produits à placer et l'on choisit ensemble. Ils communiquent sur les réseaux sociaux comme ils le souhaitent, je ne leur donne pas d'ordre, ils publient leurs posts selon leurs valeurs et leur mode de vie ».

Quand une étudiante lui demande s'il n'y a pas un paradoxe entre la volonté de se réaliser à long terme et la notoriété parfois brève des candidats de téléréalité, Magali Berdah répond qu'il y aura toujours des célébrités : « je ne peux pas savoir à l'avance combien de temps durera la notoriété des candidats, mais je les engage tous dès leur sortie de la téléréalité ».

Mais le business n'est pas un long fleuve tranquille : « j'ai fondé cette agence avec une intention naturelle et innocente, puis certains ont compris que c'était devenu rentable. Quand on est pionnier, certains veulent prendre votre place tous les jours et j'ai dû me battre pour protéger mon business : les productions ont estimé que les candidats leur appartenaient et ont trouvé que je me faisais de l'argent sur leur dos. Il était indispensable que je contacte directement les chaînes de téléréalité pour que l'on trouve un accord. Certaines productions ont même souhaité me racheter. Afin de ne plus avoir de concurrence, j'ai décidé de m'associer avec le plus grand groupe de productions, Banijay, et son président, Stéphane Courbit ».

Grâce à cette fusion, Shauna Events devient internationale et se développe en Espagne, Allemagne, Italie et Angleterre. L'agence a également diversifié ses influenceurs en faisant appel à des célébrités non issues de téléréalité, comme Maître Gims, Djibril Cissé, Karim Benzema ou encore l'ancienne Miss France Malika Ménard, lui permettant de travailler avec les grandes marques qui ne faisaient pas de publicité sur les réseaux sociaux. Aujourd'hui sa plus grande fierté, c'est d'avoir signé avec L'Oréal.

Quand on interroge Magali Berdah sur ses relations avec les influenceurs, elle est catégorique : « ils sont dix fois plus compréhensifs, conciliants et à l'écoute que d'autres célébrités, ils sont bien plus faciles à gérer ! »
Á la question très attendue « ne pensez-vous pas que la téléréalité est immorale, est-ce que votre business ne vous pose pas un problème de conscience ? » Magali Berdah répond en toute conscience : « c'est aux parents de surveiller ce que regardent leurs enfants. Je refuse de faire de la publicité pour l'alcool ou le tabac, je choisis mes marques. J'ai eu la chance de connaître Jean-Luc Azoulay, producteur de sitcoms dans les années 90, ce qu'il proposait était très différent des programmes des autres chaînes à l'époque, c'est la même chose pour la téléréalité, il n'y a rien d'immoral. Quand une jeune marque se développe et qu'elle passe de 20 à 100 salariés, je n'ai pas de problème de moralité non, je suis plutôt fière de créer de l'emploi et de participer à l'économie ! »

Et Magali Berdah de conclure : « les influenceurs ont trouvé un équilibre avec moi, et j'ai trouvé le mien également. Je ne pourrais pas me passer d'eux. Ils sont ma famille ».

Une conférence sans tabou qui a permis à tous de voir les influenceurs sous un angle différent !

Revoyez la conférence ici !

Suivez Shauna Events sur les réseaux sociaux : facebook.png instagram-png-instagram-png-logo-1455.png logo twitter pour signature mail.png

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[Invité de la semaine #12] : Google, Facebook, Twitter puis Nantes

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Avant d'exercer son activité de consultant auprès des dirigeants d'entreprise à propos des réseaux sociaux, Aurélien de Sorbay est passé par les plus grands.

ecole-marketing-communication-iseg-nantes-paysdelaloire-formation-bac-ISEGuest-AureliendeSorbay.jpgIl y a une vingtaine d'année, il a commencé à travailler en tant que commercial chez DoubleClick où il vendait de l'espace publicitaire sur le web à des annonceurs et des agences. A cette époque apparaît Google, qui commence à commercialiser des mots clés sur le net et contacte Aurélien afin qu'il dirige le tout nouveau bureau de Google France. Le géant du web qui compte aujourd'hui plus de 600 employés en France a fait ses premiers pas dans l'hexagone avec seulement quatre personnes dont Aurélien de Sorbays. Ils démarchent les agences pour vendre des mots clés, des espaces publicitaires, lancent Adwords et Gmail puis « c'est devenu une grosse machine ».

Sept ans plus tard, c'est Facebook qui l'appelle. Cette toute nouvelle plateforme de social médial commence à se développer et veut monter un bureau en France. Aurélien de Sorbay monte le bureau au côté de Damien Vincent, qui a eu le poste de directeur général chez Facebook France. Encore une fois, ils n'étaient que quatre, dans un petit bureau, bien loin de celui qui se trouve actuellement Rue Ménard, à deux pas de l'opéra de Paris. Aurélien reste cinq ans dans la boite puis rejoint Twitter pour monter le bureau français où il est resté trois ans. Après quinze ans à travailler pour ces géants du web, Aurélien de Sorbay est contacté par Snapchat mais décline l'offre tout en leur proposant de les aider en tant que consultant.

Lors de ces expériences, Aurélien a eu la chance de rencontrer des mastodontes dans leur domaine tels que Mark Zuckerberg, Sergei et Larry ainsi que Eric Schmidt.

Quand il nous parle de plateformes telles que Google, Twiter ou encore Facebook, on a du mal imaginer qu'il parle de ces mêmes plateformes que nous consultons désormais des dizaines de fois par jour. A l'époque, c'est à la télévision que nous faisions de la publicité, puis nous sommes passés à l'ère du digital. A l'heure actuelle, les entreprises investissent énormément dans ce domaine : on peut notamment prendre l'exemple de Carrefour qui a récemment mobilisé 2,8 milliard d'euros pour le digital. De plus, les milieux du Marketing et de la communication ont énormément évolué, Aurélien nous conseille de rester à l'affut et de travailler ensemble, pour avoir une vision à 360°.

Dans un futur proche, Aurélien voit un marketing d'influenceurs. Avec les réseaux sociaux et les marques qui cherchent à faire toujours plus de ventes et à se rapprocher de leurs consommateurs, on voit apparaitre de plus en plus d'influenceurs et d'ambassadeurs de marque sur les réseaux. La Chine se place en tête de cette nouvelle tendance avec 30% des comptes Nice (Instagram Chinois) qui compte plus de 10 000 followers. De plus en plus, les marques font appels à leurs clients pour vendre leurs produits. Serait-ce une nouvelle ère dans le monde du Marketing et de la Communication ?

Cet article vous est proposé par Alice Courtet, étudiante en 3e année.


L'équipe parisienne grande gagnante du Challenge National !

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Le Challenge National est un événement annuel dédié aux étudiants de troisième année de l'ISEG Marketing & Communication School.
Cette année ils ont dû travailler sur la stratégie de communication de la nouvelle balance connectée de la marque TEFAL, Le Body Partner.

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"La marque TEFAL est une marque très impressionnante dans le sens ou c'est une marque que tout le monde connait, que l'on utilise au quotidien. C'était très intéressant de faire découvrir la Body Partner autour de nous, car nous même nous ne connaissions pas le produit."

Ce brief leur a été proposé par l'agence KRMedia. Les 7 campus de l'ISEG ont eu pour mission de répondre à celui-ci en trouvant une nouvelle idée créative.
Aider par des coachs, les étudiants ont eu un mois pour travailler sur leur présentation professionnelle.

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L'équipe parisienne a choisit d'axer sa recommandation sur un insight fort :

"On est partis de l'insight fort qui est que nous avons un regard subjectif sur notre silhouette et pour nous la seule réponse c'était l'objectivité justement de la balance Body Partner de TEFAL grace à ces 6 mesures objectives avec son mètre et de son impédancemètre"

Les équipes vainqueur de chaque campus se sont retrouvées à Paris le 23 janvier dernier pour défendre leurs projets devant l'agence et ainsi désigner le grand gagnant du concours !

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Cette année, c'est l'équipe de Paris qui se voit attribuer la première place :

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"On est très fiers d'avoir remporté ce challenge, on a vraiment beaucoup travaillé depuis ces deux derniers mois, les équipes étaient vraiment très fortes, mais on est content d'avoir pu remporter cette première place"

Bravo à l'équipe de Paris qui obtient la première place du Challenge National !
Bravo à tous pour votre travail et vos belles recommandations !

Isabelle Barnel, Responsable Digital Groupe, Groupe BMW MINI, invitée de la semaine !

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Chaque mercredi, un professionnel du marketing, de la communication ou du digital nous parle de son métier et de son expérience professionnelle. Mercredi 24 janvier dernier, Isabelle Barnel, Responsable Digital Groupe du Groupe Altitude BMW MINI était notre Invitée de la semaine. Un échange intimiste rempli de bienveillance et de conseils envers les étudiants.

Professionnelle de la stratégie digitale, Isabelle Barnel s'est spécialisée dans les média sociaux en 2010 et fut parmi les premiers à inciter les entreprises à avoir un compte facebook. « Proposer aux entreprises à s'afficher sur facebook était assez controversé à cette époque-là : facebook était perçu comme un media pour les jeunes uniquement. Depuis, beaucoup d'entreprises se sont digitalisées, les media aussi, la presse et les marques également, même de luxe ! ».

Fondé en 2003, le Groupe Altitude BMW MINI compte 170 collaborateurs. Créé par Pierre-Edouard Dieu, le Groupe Altitude, c'est :
• 5 marques (BMW, MINI, BMW i, BMW Motorrad et Yamaha)
• 6 sites (Vienne, Saint-Etienne, Roanne, Lyon, Villefranche-sur-Saône, Mâcon)
• Des collaborateurs passionnés à votre écoute et à votre disposition autour de véhicules et motos neufs ou d'occasions
• Des conseillers commerciaux et des conseillers services accessibles partout et à tout moment
• Une écoute proactive pour faire évaluer les besoins des clients
• Des explications claires et détaillées des contrats, des prestations
• Des solutions et conseils de spécialistes !

Pour Isabelle Barnel, le Groupe Altitude, ce sont avant tout des valeurs familiales, synonymes d'échange et de partage où l'expérience client est au cœur des préoccupations de la marque. « Mon métier, c'est Responsable Digital Groupe. Cela signifie que je gère la communication de 6 sites par diverses actions : des réseaux sociaux à l'optimisation de la visibilité sur le site web, en complément du marketing direct. E-réputation, référencement, shooting photos, stories, LIVE, évènements, actualités, tout est pensé pour promouvoir au mieux la notoriété du groupe sur le web ».

En novembre 2017, le Groupe Altitude a remporté un Prix aux TROPHEES DE LA COMMUNICATION à Cannes pour sa stratégie digitale. Isabelle est intervenue au Digital Luxe Meeting de Paris en juillet 2017 et à la 1re édition suisse à Genève en janvier 2018. Aussi, c'est en décembre 2017 qu'Isabelle Barnel représentait le Groupe Altitude à la bigBoss Winter Edition à Val-Thorens, réunissant 350 BIG BOSS du Digital. Isabelle poursuit également ses interventions au Club de la Presse de Lyon en Marketing Digital.

Á la question « quelles compétences faut-il avoir pour travailler dans la communication », Isabelle Barnel nous a répondu avec certitude : « la plus grande qualité, c'est d'abord l'écoute ! Quand une personne parle d'elle, vous avez tout gagné. C'est important d'écouter le client, de comprendre ce qu'il attend, ce qu'il veut. » avant de rajouter : « il faut également beaucoup de rigueur dans ce métier, être bien organisé, passionné, disponible et créatif ! ». Quant aux contraintes du métier, Isabelle Barnel nous avoue qu'il est parfois difficile de se partager entre les différents évènements, tous aussi importants et intéressants, et ne pas se laisser dévorer par sa passion ! Et de rajouter : « j'interviens avec plaisir à l'ISEG Marketing & Communication School Lyon parce que les étudiants sont curieux, intéressés et ont envie ! C'est ça la culture ISEG ! ».

Nous retiendrons ses précieux conseils : « intégrez des associations, BDE, junior entreprises. Participez à des Meetup, des conférences et évènements organisés dans les secteurs d'activités qui vous passionnent ! Nous sommes tous créateurs d'opportunités, on saisit les opportunités que l'on s'est créées. Ayez confiance en vous, croyez en votre projet, soyez avenants, ouverts, vous êtes vos propres ambassadeurs ! »

Quant à savoir si elle engage des stagiaires, Isabelle Barnel nous confirme « les étudiants de l'ISEG sont tous bons, ce qui m'est indispensable, c'est un stagiaire qui a la pêche, un savoir-être, qui est punchy et souriant, afin que l'on passe aussi de bons moments ! ».

[Projets MCS4] Nos étudiants ont eu un semestre pour répondre à leur annonceur !

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Les EPA (Expertise Par l'Action) du premier semestre sont désormais terminées ! Nos étudiants ont travaillé tout le 1er semestre sur le brief d'un annonceur, en rapport avec l'expertise qu'ils ont choisie en intégrant leur Master 1.

Communication et Marketing Manager :

La marque était de taille mais l'ambition de nos étudiants aura su y faire face. Nos 4e années ont eu l'occasion de travailler pour la préstigieuse marque BMW. Celle-ci souhaitait gagner en notoriété sur Toulouse et se différencier de la concurrence. Pour répondre à ce brief, études de notoriété, de la concurrence, rencontre avec un panel de consommateurs, préconisation d'actions de communication...

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Digital strategy:

Spécialisé sur les intelligences artificielles, et l'analyse sémantique au service de la relation client, Inbenta a fait appel à nos étudiants pour qu'ils proposent un plan d'actions visant à développer la marque employeur d'Inbenta, et améliorer la notoriété de l'entreprise. Ce plan a pour but de soutenir à la croissance de son chiffre d'affaires et de la charge de travail puisque cette dernière mène une politique de recrutement de talents continue.

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DATA

le premier lotisseur privé en France plus connu sous le nom de Nexity aura quant à lui apporter la problématique suivante: Comment justifier démographiquement et économiquement l'importance et l'utilité d'une résidence étudiante avec services à Toulouse ?
Alors que le marché du logement étudiant est en pleine expansion, le manque de logements représente un réel problème. Aujourd'hui toulouse représente pas moins de 129 000 étudiants (2e ville étudiante en France). Nos étudiants ont alors dû mettre à profit leurs connaissances pour marketer l'utilité et l'efficacité d'un nouveau produit.EPA_DATA.JPG

Luxe

Le préstigieux Hotel du Palais de Biarritz a lui, souhaité travaillé sa notoriété. La problématique était la suivante: Comment mieux faire connaitre le Spa Impérial de l'Hôtel de Palais auprès des clients de l'hôtel, exterieurs à ce dernier et international.

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Learning Trip : quand deux étudiantes de 4ème année explorent la Silicon Valley

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Le 29 janvier dernier, 6 étudiantes issus de nos 7 campus ont atterri à San Francisco pour une semaine immersive dans l'écosystème de la Tech et des start-ups : la fameuse Silicon Valley.

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Après un passage près du Golden Gate, une exploration des rues pentues de San Francisco et de ses « piers », nos étudiantes lilloises de 4ème année, Marion Busin et Apolline Devos, ont démarré un séminaire de visites et de formation pour une plongée au cœur de l'écosystème des starts-ups américaines, là où toutes les grandes digital success stories ont vu le jour...

Jour 1 & 2

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Pour leur première visite, nos étudiantes ont découvert le showroom d'Autodesk, agence d'ingénierie dédiée aux softwares, aux solutions IT customisées, aux technologies de pointe de type imprimante 3D, qui sont à l'origine de réalisations et d'innovations dans de nombreux secteurs : smart building, design interactif, création unique de robes « intelligentes » qui réagissent selon des stimulis externes, modélisation de virus et création d'objets artistiques... Cette visite leur a permis de se familiariser avec les différents champs du design, du plus exploratoire (scientifique, artistique) au plus commercial (smart building, kayak pliable et portable, etc.) en passant par les projets associatifs les plus fous (ballon de foot qui charge une batterie d'électricité).

C'est ensuite au sein du building de WeWork, espace de co-working, que nos étudiantes ont pu rencontrer Quentin Cotillard, fondateur de l'agence Onward. Cette rencontre a été l'occasion d'un débat sur les nouveaux modèles d'agences digitales. La journée s'est poursuivie par une conférence animée par Georges Nahon, CEO d'Orange et des échanges avec le CEO d'une jeune agence en marketing franco-américaine : One To Team. La journée s'est terminée par la visite de China Town et du quatier Italien.

Jour 3

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Nos étudiantes ont passé une bonne partie de leur journée sur le site historique de Google, à savoir le campus de Mountain View. Elles ont sillonné la Silicon Valley pour aller à la rencontre des géants du web : Google, Facebook et Apple. Au programme ? Visite des bureaux d'Apple, rencontre avec les équipes de Facebook, visite de la NASA et de l'école 42, rendez-vous avec Peter Radsliff, VP Marketing de Arrayent et conférence sur la Data dans une maison du campus par les associés de Numberly.

Jour 4

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Pour leur 4ème journée, les étudiantes ont rencontré Peter Radsliff, VP Marketing de Arrayent puis ont assisté à une conférence sur la Data au sein d'une maison du campus par les associés de Numberly. La journée s'est terminée par une balade et une session shopping au plein coeur de Stanford.

Jour 5

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Au cours de cette dernière journée, nos étudiantes ont assisté à deux conférences. La première était animée par Boris Pavlovic au sein des locaux de DocuSign, une plateforme de gestion des transactions numériques qui permet aux entreprises d'adopter des processus entièrement numériques, du début à la fin, et ainsi d'accélérer les transactions et de réduire les coûts, pour la plus grande satisfaction des clients, des partenaires, des fournisseurs et des employés. La seconde abordait le sujet de l'Intelligence Artificielle au côté de Nicolas Maquaire, CEO de la start-up Kloop. Cette dernière journée s'est clôturée par une visite des lieux touristiques emblématiques comme le Golden Gate Bridge.

Cette plongée immersive dans le berceau de la Tech et des start-ups a été l'occasion pour l'ensemble des étudiants présents de vivre des expériences hors normes et de tisser les prémices d'un réseau exceptionnel. Cette confrontation au système américain, et à la réussite notamment d'un certain nombre d'entrepreneurs français dans cet écosystème complexe, leur a également permis de recevoir des messages optimistes sur le potentiel français aux Etats-Unis.

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